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riddims - Page 10

  • sujet de délicieuse rêverie…

    nous sommes dans le métro… je suis quelques sièges plus loin… tu caches ta main sous ton manteau et me regardant, me fixant de tes yeux magnifiques, tu te caresses… discretement… moi seul le sait, moi seul le devine… tu retiens tes soupirs, et tes yeux s'illuminent, je devine ton plaisir qui nait sous tes doigts… je suis avec toi de mon regard… je t'accompagne… lorsque ton plaisir vient, tu me rejoint et nous descendons du wagon… et nous nous embrassons.

  • Geyser

    L'anneau de l'index et du pouce
    monte doux ascenseur...
    Descend belle caresse.
    Les doigts d'ivresse
    montent aux étoiles.
    Les yeux clos, feux d'artifices
    comme une lame de couteau.

    De la main filante, aimante
    qui délivre le raz-de-marée,
    le gazeux geyser monte.
    En un tour de main,
    palpe de la paume,
    gonfle le manteau de peau
    coulisse et malaxe l'axe,
    l'ajuste à ton geste.

    Ta frimousse de cristal
    parée de diamants
    de spermes frais
    d'éclats de crèmes opales,
    Recueille la première larme
    de sa housse de tendre chair.
    L'anneau de l'index et du pouce
    monte doux doigts divins...
    Descend belle caresse,
    vive et brûlante comme un incendie.

    De lave et de feu monte,
    coulisse ta prisonnière
    de ta bouche, qui délivre
    le raz-de-marée,
    le gazeux geyser
    gonfle l'écrin, tes doigts
    ne me laissent répits
    plus rapides, plus forts.
    Ta bouche plus douce
    s'impose et me soumet.

    J'explose, j'implose,
    j'étincelle des gouttes
    d'or, d'argent, de nacre
    qui ornent tes lèvres
    bouillantes et magnifiques
    et courent tels des lévriers
    orner tes seins, paillettes
    coulées le long de la clavicule,
    Doigts humides de mon extase.

    L'anneau de l'index et du pouce
    dessert doux ascenseur...
    Délivre belle caresse.
    Les doigts d'ivresse
    montent aux étoiles.
    Les yeux clos, feux d'artifices
    comme une lame de couteau.

  • Paradis

    Dans tes bras j'étais au paradis
    et ne savais pas que ce serais aussi l'enfer
    ce jour ou nous ne serions plus nous.
    Chacun de notre côté, dans d'autres bras
    purgatoires, ivres et libres, délivrés de nous.
    Dans tes bras j'étais au paradis
    et toi tu as choisie l'enfer, j'ai choisi la vie
    pour survivre sans toi, j'ai oublié d'aimer.
    Chacun de notre côté, dans d'autres bras
    de passage sur d'autres rivages, d'autres lits…
    J'ai choisi la vie, et de bras en bras j'oubliai
    que dans les tiens, c'était le paradis
    et je ne savais pas que tu choisirais l'enfer
    alors que dans mes bras tu étais au paradis.

  • Fruits défendus

    je te lèche la pomme
    en caressant tes jolies poires.
    Cueillons les fruits de l'amour !
    je me frotte à ton abricot
    fondant et succulent tel une mangue.
    tu agrippe mes noix.
    Ma banane bien mûre se dresse,
    juteuse de nectar, lait de coco.
    Cueillons les fruits de l'amour !
    Ta petite fraise sucrée, sensible
    à mes assauts, à l'orée du verger
    où je cueille les fruits défendus du pêcher
    à un parfum de fruits de la passion.

  • lettre à Michelle et à son fils.

    Il faut garder le cap sur le soleil
    les orages et les nuages sombres
    seront chassés pas les vents.
    Il faut garder le cap sur le soleil
    l'amitié, l'amour chassera la peine
    Il faut garder le cap sur le soleil.
    Quelque part une âme esseulée
    croit qu'elle est seule…
    Quelque part une âme esseulée
    croit que personne n'est là
    pour toi, pour elle…
    Il faut garder le cap sur le soleil
    chasser nuages sombres
    et orages, regrets et chagrin
    n'apportent qu'à eux la noirceur
    et la rancune de l'absence.
    Il faut garder le cap sur le soleil
    celui qu'il n'a pas su prendre
    en sa mémoire, ce soleil qu'il
    aurait aimé, qu'il aurait adoré.
    Il était une âme esseulée
    sans soleil pour se réchauffer
    et toi, trouves le pour honorer
    sa mémoire et pour la distribuer
    aux autres, faire mentir la fatalité
    et pour ceux qui t'attendent,
    Il faut garder le cap sur le soleil.

  • l'ignorance

    Nous mourrons pourtant,
    le silence est si rassurant…
    Nous mourrons pourtant,
    le silence est si apaisant
    comme un souffle d'air frais.
    Pas de peurs du lendemain
    pas de peurs à avoir
    loin du bruit, le silence…
    Rien au-delà,
    pourtant pas de peur.
    loin du tintammarre
    il est diamant et or blanc.
    Quand le vacarme en devient
    si bruyant qu'il en est silence,
    que la rumeur devient lance
    et flèches, et les mots qui
    perdent sens, le silence
    devient refuge, pas de peur !
    pas de pleurs ! il est si apaisant.
    Nous mourrons pourtant,
    pas de peurs à avoir !
    Au-delà est ignorance
    et nous, nous cherchons
    la jouissance et la célebrons
    Nous mourrons pourtant
    mais en ce silence,
    nous trouvons l'en vie.

  • Bouche-que-veux-tu

    Danse langue,
    bande ferme…
    ta fente pleure
    parfois de joie.
    Jute sur ton sein
    jolie crême,
    dessert, reflets d'opale.
    Gouttes de salive
    sur la forêt de vénus.
    Bouche-que-veux-tu
    joue au chat et la souris.
    lèvres qui lèvent verge
    dressée et obéissante,
    bon élève, gland garçon
    à l'exite clitoris visite
    la broussaille paradisiaque,
    où mon vit vise, va et vient,
    le délicieux chemin de ta chatte.

  • la patience

    De mes grands mere, de ma mere, j'ai hérité de la patiente
    attente des femmes de terre neuvas, qui, espéraient le retour
    apres des mois d'absence, de l'homme de mer, des hommes.
    Les longs mois, les années , les femmes qui ne se mêlaient pas
    aux gens de terre, qui les prenaient pour une sous-race.
    Ceux, pour qui les marins qui, sobres en mer,
    n'étaient plus que ceux qui à quai , buvaient, festoyaient
    bruyamment avant que la mer ne les reprennent et ne les gardent.
    les femmes qui attendaient le retour du bâteau, ces quais en pleurs
    et ces enfants, en fleurs, ésseulés sur les galets, sur les falaises
    derrière la jetée, la raison de leurs solitudes conjuguées.
    Ceux qui ignoraient tout de la vie de ces marins perdus dans le froid
    bleuté des mers du nord, et qui vivaient au sec, chaudements vêtus,
    ignorant des peurs, de la patience et de l'impatience,
    ne firent pas de cadeaux à ma famille fécampoise.
    Lorsqu'un aufrage arracha Joseph leleu, capitaine au long-cours
    aux siens, ma mère décida que jamais ses enfants ne vivraiant de la mer.
    Ma mere quitta la mer, mon pere l'enleva à son trafiquant de fiancé
    ils vinrent à paris, loin de la mer, leurs enfants ne risquaient de devenir marins…
    L'apres- guerre était à la reconstruction, mon pere de charpentier de navire devint maçon
    puis chef de chantier, il était sur les routes là ou étaient les chantiers, ma mere l'attendait…
    nous aussi… et, j'appris la patience et l'attente…

  • comme moi, Citoyens du monde…

    Jean d' ARCY
    Pierre AUGER Physicien
    Guy AURENCHE
    Claude AVELINE Ecrivain
    Hervé BAZIN Ecrivain
    Pierre BERGER
    Antonin BESSON Procureur Général
    François BILLETDOUX Auteur dramatique
    Georges BLOND Ecrivain
    Edouard BONNEFOUS Académicien ancien ministre
    Claude BOURDET Journaliste
    André BRETON Ecrivain
    Robert BURON Homme politique ancien ministre
    Albert CAMUS Ecrivain Prix Nobel de littérature
    Clara CANDIANI Journaliste
    Jean CARLIER
    Georges CASALIS
    René CASSIN Juriste, homme politique. Prix Nobel de la Paix
    Jean-Roger CAUSSIMON Compositeur interprète
    Michel CEPEDE Ancien président du Conseil de la FAO
    Jean CHESNEAUX
    Bernard CLAVEL Ecrivain
    Alain CONNAN
    Yves COPPENS Paléontologue
    Emmanuel d'ASTIER DE LA VIGERIE Journaliste
    Jacques de BOURBON-BUSSET Ecrivain Membre de l'Académie
    Jean-Jacques de FELICE Avocat
    Irène de LIPLOWSKI
    Mylène DEMONGEOT
    André DILIGENT Homme politique Sénateur-Maire de Tourcoing
    Mme Camille DREVET
    Jacques DUBOIN Economiste.
    Georges DUHAMEL
    René DUMONT Agronome
    Jacques ELLUL Juriste. Sociologue
    Jean FOURASTIE Economiste
    Georges FRIEDMANN Sociologue
    Jacques GAILLOT Evêque
    Pr.Pierre GIRARD
    Bernard GORSKY Auteur
    Jean GRANDMOUGIN
    William GROSSIN
    Mme Louise GUIEYSSE
    Gaston HAUSTRATE
    Jean HELION Peintre
    Olivier HUSSENOT
    Roger IKOR Ecrivain
    Albert JACQUARD Economiste
    Général Germain JOUSSE Militaire
    Alfred KASTLER Membre de l'Institut Prix Nobel de Physique 1966
    Paul de LA PRADELLE Universitaire Fondateur de l'Institut d'Etudes Mondialistes
    Henri LABORIT Biologiste
    Antoine LACASSAGNE
    Gilbert LAFFAILLE Chanteur
    Dr LAGROUA WEILL-HALLE "Planning Familial"
    Henri LAUGIER
    François LE LIONNAIS Ecrivain
    Jean Marie LEHN
    Roger LHOMBREAUD
    Jean MAIGNE
    Robert MALLET Universitaire Fondateur du Comité Permanent Mondialiste
    Alexandre MARC Théoricien du fédéralisme
    Pierre MARTHELOT
    Louis MARTIN CHAUFFIER
    Tristian MENDES FRANCE
    Alexandre MINKOWSKI Professeur de médecine
    Léonide MOGUY
    Emmanuel MONNIER Réalisateur
    Théodore MONOD Naturaliste
    Jean-Raoul MONTIES
    Paul MONTUCLARD
    Georges MOUSTAKI Chanteur
    Daniel PARKER
    Jean PAULHAN Ecrivain. Journaliste
    Mme Magdeleine PAZ
    Louis PERILLER Ancien ambassadeur
    Abbé PIERRE Fondateur des Communautés Emmaüs
    Frédéric POTTECHER Journaliste
    Raymond QUENEAU Ecrivain
    Hubert REEVES Astrophysicien
    Eugène RIGUIDEL
    Denis ROBERT Ecrivain
    Mireille Robert-JOSPIN
    Jacques ROBIN
    Robert ROBIN
    Mme ROMAIN-ROLLAND
    Jules ROMAINS Ecrivain
    Louis ROSEN
    Pasteur ROSER
    Jean ROSTAND Biologiste et écrivain Membre de l'Institut
    Pierre SAMUEL
    Robert SARRAZAC Fondateur du Front Humain des Citoyens du Monde
    Jacques SAVARY, ancien président du Registre des Citoyens du Monde
    Pierre SCHAEFFER
    Emile SERVAN-SCHREIBER Journaliste
    Pierre SUDREAU Ancien ministre
    Jacques TESTART
    Jacques THOME-PATENOTRE
    Jean TOULAT, prêtre, écrivain, militant de la non-violence
    Jacques TRUCHOT Professeur de philosophie
    Jean BRULLER VERCORS Ecrivain
    Paul-Emile VICTOR Explorateur, Roger WELLHOFF, ancien Président du Registre des Citoyens du MOnde
    Roger WINTERHALTER ancien maire de Lutterbach (68)
    Joseph WRESINSKI Ecclésiastique Fondateur d'ATD-Quart-Monde
    Richard WRIGHT Ecrivain

  • Illetrés…

    Nous n'entendons plus les fleurs
    à l'oreille, au cœur, chuchotter
    leurs secrets, et leurs savoirs.
    Nous avons oubliés que les ronces et les arbres
    nous chantaient les ruisseaux, la terre brune,
    les glaises et les mousses, les pluies.
    Nos chansons ne sont plus soulevées
    au dessus des nuagues par les feuilles.
    portés au dessus des chemins par les herbes.

    Nous n'entendons plus les fleurs
    à l'oreille, au cœur, chuchotter
    que tes baisers sont frais et chauds.
    Nous n'entendons plus les fleurs
    à l'oreille, au cœur, chuchotter
    que leurs parfums et leur sève
    nous panse de nos malheurs.
    Chuchotter à nos mécaniques oreilles,
    haute-fidelités oreilles,désormais sourdes…

    Nous ne savons plus lire le ciel,
    les vents ne soufflent plus leurs secrets, et leurs savoirs.
    Nos pas nous ont menés si loin…
    que n'entendons plus ce que nous disent les fleurs.

  • le temps de l'amitié

    Le temps passe, mon miroir me renvoie
    à une image que je ne reconnais pas de moi
    bien loin de mes espérances et de mes rêves.
    tu n'est pas là et je t'ai trouvée dans tant de femmes
    je me perds dans ce féminin pluriel
    moi qui n'étais destiné qu'à une seule.
    Celle à qui j'offre, en hommage
    une toute petite amitié, de petits baisers
    passe temps, dans un monde de folies.
    En résistance à l'absurde et au chaos,
    en résistance à la monotonie des jours
    à cette existence entre parenthèses
    à cette existence offerte aux épiciers.
    Celle à qui j'offre, en hommage
    le reflet de sa beauté, dont je reçoit d'ailes
    brisées, de son aérienne grâce.
    Le peu dont j'aimerai qu'il soit temps…
    le temps passe, passe l'or de toi, l'or de tes rêves
    contagion de tentations, contingent d'envies
    de moi à toi, j'ordonne les jours de nous
    les jours où le tu, le vous et le toi étaient de feux
    où je brûlais de déclarer mes flammes
    à ces féminin plurielles qui en toi peuplent
    cette femme brillante qui est mon amie.

  • danse…

    L'herbe fraîche court sous tes pieds
    nus, tu avances dans la prairie,
    au dessus de toi t'attire le ciel,
    l'ivresse de la liberté te va comme un gant.
    Les arbres chantés par les piafs
    les printemps à venir dans leurs cœurs.
    Dansent les écureuils et moi je t'invite.
    Pieds nus sur l'herbe fraîche, dans les ronces,
    dans les orties, guinchons et valsons.
    Paso doble, robe légère, danse au vent
    rejoint-moi, qui t'enlace et te couche
    fraîche, nue sur l'herbe tendre.

  • crême

    je touille to you, coule
    deux doigts dans la crême
    m'en pourlèche les babines
    barbouillées, to you touille.
    Papouilles à la touillette.
    Lechouilles happés to you
    deux doigts dans la crême.
    Ma langue lisse to you,
    en ta bonne bouche,
    ma crême to you cool.

  • en reponse à citoyennedumonde

    Un petit questionnaire, pour Julien ...
    1) Attrapez le livre le plus proche, allez à la page 18 et écrivez la 4ème ligne :
Millenium people (J.G. Ballard) : 
milieu de la rue avait été dûment poussée sur une

2) Sans vérifier, quelle heure est-il ?
9h40

3) Vérifiez
9h40

4) Que portez-vous ?
un jean italien, des converses kaki, un pull bleu marine avec col en V bordé de blanc et une paire de lunette Oakley®
    5) Avant de répondre à ce questionnaire, que regardiez-vous ?
mes mails

6) Quel bruit entendez-vous à part celui de l’ordinateur ?
la secrétaire de rédaction qui brieffe une DA

7) Quand êtes-vous sortie la dernière fois, qu’avez-vous fait ?
Le Printemps Haussmann

8) Avez-vous rêvé cette nuit ?
Oui, comme toutes les nuits ... c'est important pour moi…

9) Quand avez-vous ri la dernière fois ?
en chatouillant mon fils
 
10) Qu’y a-t-il sur les murs de la pièce où vous êtes ?
beaucoup de desordre… des bibliothheques pas rangées avec de la doc

11) Si vous deveniez multimillionnaire dans la nuit, quelle est la première chose que vous achèteriez ?
Une maison rustique - probablement de bois - isolée sur une montagne avec vue sur une vallée

12) Quel est le dernier film que vous ayez vu ?
je ne sais pas… rien de marquant en tout cas

13) Avez-vous vu quelque chose d’étrange aujourd’hui ?
à paris, tout est étonnant

14) Que pensez-vous de ce questionnaire ?
Pas mal

15) Dites-nous quelque chose de vous que ne savons pas encore :
si je le savais je vous le dirai
    
16) Quel serait le prénom de votre enfant si c’était une fille ?
Ma fille s'appelle Solene

17) Quel serait le prénom de votre enfant si c’était un garçon ?
Mon fils s'appelle Matteo, je voulais l'appeler aussi Lancelot

18) Avez-vous déjà pensé à vivre à l’étranger ?
Oui, j'aimerai vivre à Rome.

19) Que voudriez-vous que Dieu vous dise lorsque vous franchirez les portes du paradis ?
Surprise, j'existe! et je lui dirai, si tu est vraiment bon, pardonne a satan… offre lui sa chance.

20) Si vous pouviez changer quelque chose dans le monde en dehors de la culpabilité et la politique, que changeriez-vous ?
Je permettrais à chacun de faire ce qu'il aime de manière constructive pour tous. je mettrais au chomâge les marchands d'arme et les prosélytes de sports de combat… je rendrai obligatoire la philosophie à l'école des les premières classe et supprimerai l'enseignement prosélyte religieuse.

21) Aimez-vous danser ?
Oui, j'adore ...

22) Georges Bush ?
le pauvre… il me fait de la peine…

23) Quelle est la dernière chose que vous ayez regardée à la télévision ?
Ce soir ou jamais par Frederic Taddeï

24) Quelles sont les 4 personnes qui doivent prendre le relais sur leur blog ?
des gens de bonne volonté…

  • embrassez qui vous voudrez…

    http://www.bigkiss9novembre.com/

    c'est-y-pas beau tout ça?


    Pas moins de 1 188 personnes se sont embrassées sur le parvis de la Défense, jeudi 9 novembre, à 13 heures. Le record mondial a été battu et homologué par le "Livre Guinness des records". Les participants pouvaient s'embrasser "n'importe où sur le visage", pendant au moins 5 secondes.

  • fruitée

    me voilà ou qu't'est,
    entre deux pêches
    bien rondes et pulpeuses.
    Ma noix, voie lactée, dégorge
    cascade son lait de coco.
    Mon litchi, dans ta figue,
    ruisselle de tout son jus
    j'embrasse ta pomme
    j'embrasse ta bouche fruitée.

  • Screamin Jay Hawkins

    Il avait choisi la france… (il chantait (hurlait) aussi I love Paris) il vivait à Levallois Perret - tout comme l'immense Arletty… il était le chantre du Rock n' Roll Vaudou… certains d'entre vous l'on entendus ou même vus il jouait le rôel d'un portier d'hotel) dans les films de Jim Jarmush, nous on le passait dans nos fêtes… c'est bel et bien une musique de fête non?
    il est et reste Cultissime…


    podcast

  • FIAC >>>>>

    http://www.fiacparis.com/

  • Faim de Loup

    Je reste sur ma faim de Loup.
    je reste sur ma faim… fin gourmet,
    affamé ! et lorsque je pense être repu,
    il me vient des envies, des désirs…
    Je reste affamé de baisers, je reste insassiable…
    je deviens un ogre, je devient un croque-mitaine.
    La lenteur me manque… La douceur me manque
    s'abandonner au temps d'aimer
    aux mains d'une autre, se livrer ,
    sans poser la limites du jamais ou du toujours.
    Cents frontières, déployer ma ligne d'horizon
    louvoyer comme un voyou, sans foi, ni loi.
    Je reste sur ma faim de vous.

  • Cités

    la rouille ronge leur esprit…
    Ils se pavanent d'anciens oripeaux
    cagoulés, tourneboulés, chamboulés.
    et de haillons standard, dandy de superette,
    revêtus de la rebellion formatée pour le 20h,
    ne sont jamais que copie conforme de l'informe.

    la rouille ronge leur esprit
    clown clonés desespérés
    leurs langues fourches
    ne sait plus les mots,
    mais les mots d'autrui
    des mots pressés et opressés.
    Ne savent plus les émotions,
    juste de motions de censure,
    et les fatwa de truisme.

    Ils renforcent, reproduisent
    la tyrannie, la multiplication des pains
    qu'ils reçoivent, la dispensent à autrui.
    A ceux la même qui leurs ressemblent.
    A ceux là même dont ils feront des esclaves.

  • Nous

    Elle m'offre à toi, m'offre les baisers
    qu'elle te donne, m'offre tes orgasmes
    et la douceur de vos peaux…
    Elle offre à mes ivresses, vos jeux, vos élans,
    nos corps qui se mêlent et nos langues déliés.
    A elle, tu m'offres, tu me prêtes et vos bouches
    amies délivrent à mon pénis leur libre plaisir.
    Nous ne sommes qu'affamés de chairs.
    Nous ne sommes qu'affamés de plaisirs.
    Nous ne sommes qu'affamés de caresses.
    je suis elle, tu est moi, et elle est nous.

  • HachipéHachopée d'hier


    podcast


    Pauline Carton et Jean Nohain… chanson de 1934 pleine de double sens… une merveille de jeux de mots

  • Sauvage comme moi

    Apprends-moi, apprivoise-moi
    Moi qui ai pris ce cœur,
    moi qui défends le mien
    de tous liens… En dépit
    de cela, apprivoise-moi.
    Donnes au sauvage
    ces baisers d'acier et de vent.
    Donne au sauvage
    ces caresses et laisse cage ouverte…
    Brisées les chaînes, libère le sauvage
    qui est en toi, apprends lui les nuages
    apprends lui les étoiles,
    apprends lui la chair
    sans les chaînes.

  • elle me fait craquer…

    elle est craquante vous ne trouvez pas ? désolé j'ai pas trouvé de meilleur
    podcast

  • Or gammes

    Lorsqu'elle m'aime ; merveille!
    va nue, nus pieds, cela va tous les matins
    au monde, rien ne m'émerveille autant.
    Elle avale mon élevée, je rêvasse,
    je m'éveille à ses jeux de bouche, verge dédiée.
    Des vagues de plaisirs, eve, lilith, divague, geint
    de par son chaud vagin, je me vie d'elle,
    divagues tièdes crèmes , se perd me, je, nous.

  • scintillement

    tes yeux scintillent lorsqu'on s'embrasse,
    et aussi, mon âme scintille de tes feux, de ton éclat
    nos langues se lèchent, et se pourlèchent…
    deux petits serpents roses, qui s'entortillent
    deux petites langues humides et chaudes.
    mes yeux scintillent lorsque tu m'embrasses
    et aussi, mon âme scintille de tes jeux, de ton éclat
    nos corps se lèchent, et s'emmellent…
    mon serpent rose, humide de toi, chaud de toi
    qui se tortille et glisse dans ta bouche affamée
    mes yeux scintillent quand tu l'embrase.
    envieux de ton corps, envieux de ton désir,
    moi, affamé de la femme que tu est.

  • j'aime les gens qui doutent - juliette Greco

    Dans le domaine de la pensée il n'y a rien de plus moral que la vérité ; et quand on ne la possède pas de science certaine, il n'y a rien de plus moral que le doute. Le doute; c'est la dignité de la pensée. Il faut donc chasser de nous mêmes le respect aveugle pour certains principes, pour certaines croyances ; il faut pouvoir mettre tout en question, scuter, pénétrere tout : l'intelligence ne doit pas baisser les yeux, même devant ce qu'elle adore.
    Jean Marie Guyau
    Esquisse d'une morale sans obligation ni sanction - Felix Alcan. 1885

  • spleen - fin

    merci de vos petits messages… leger spleen… oui ça parlais de soi-même j'avais pas dit grosse déprime… en tout cas, merci beaucoup de vos petits mots et attention… en fait, ça m'arrive rarement, et depuis que j'ai constaté que cet état d'âme coincidait avec certaines phase de la lune - c'est quasi systematique - je prends mon mal en patience, et ne prends plus ce spleen au sérieux, à ces moments là je me sent vide, nul, sans avenir… et cela ne dure que le temps d'une pleine lune… Il parait que c'est courant, ça vous arrive à vous?
    à présent tout va bien…
    merci encore pour vos petits mots de soutien!

  • de sable et de poussiere

    Ne sentir sous ses pieds que du sable,
    entre ses doigts, ne saisir que le vent…
    pas même un nuage sombre, pas même le froid
    au bord d'un précpice, face à soi le vide…
    et moi au bord… avec une tranquille panique.
    Je me sent égaré, perdu, sans savoir ou je suis
    qui je suis… pas de certitudes, pas d'espérance…
    pas de peines, pas de chagrin, au delà de cela…
    j'étais un jeune homme en colère, j'avais la haine…
    je n'ai rien… je ne possede rien, même plus le désespoir…
    et cela est comme le vent, insaisisable,
    et cela est comme le vent, comme le sable
    ça s'effacera et disparaitra…