Saveur d'ôter vert soie suave
de douleur à douceur, jamais assez
d'ailes pour m'envoler,
jamais assez de tes baisers vanillés.
Vouer à nos ivresses charnelles
nos paresses d'étés, si ne m'aimes l'amie,
jamais je n'aime, à deux nos solitaires plaisirs.
même si nos élans sauvent nos peaux,
cents lendemains, éblouis au jour d'hui.
Dévouée louve voulue, lumière sans ombre.
Amicalement valent mieux à deux partagés,
plaisirs briselarmes, nos instants lumineux.
cent sentiments, juste nos questions-réponses
peau sur peau, cent poésies, juste sexe cité.
Nos paresses d'été, jamais assez
de ces baisers nus vanillés.
paris
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Fuck friendly
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Le moineau des filles
Ce reflet dans le miroir ne te montre pas.
Demain sera fait de mon ignorance.
je veux me livrer à l'astre solaire,
faire l'amour au vent et à la pluie.
le moineau des filles
dévale la ville…
Se brûler à ne pas se dire "je t'aime"
de peur de ne plus le penser un jour.
Alors "Toujours devient jamais".
Mes mains et mes baisers muets
se brisent.
l'été ne tient qu'à un fil
le beau temps dévale
Arrogance de tes baisers…
d'insaisissables reflets de toi
dévorent mon cœur.
le moineau des filles
dévale la ville…
Défilent les filles des villes
que l'on voudrais vêtues d'un fil.
Pour les moineaux des filles
le défi de vivre décore les cœurs.