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erotisme

  • Lèche

    tes doigts dans mes cheveux
    ma tête rivée à ton ventre
    en ancrage con centré
    dérivé
    attentif aux frémis
    je goûte ton être
    je sais sa saveur.
    ton bonheur coquille
    qu’est quête d’envies
    de bon heure
    plonge ma bouche
    démon de vénus
    entre tes lèvres
    coule la cascade
    de limpide salive
    et de cyprine
    plonge ma langue
    girouette sur le bouton
    tendre starter saveur
    velours, leche majestée
    mon majuscule dressé
    patientera, je me tends
    et attends ton ravissement
    aimé

    tes doigts dans mes cheveux
    ma tête rivée à ton ventre
    en ancrage con centré
    attentif aux frémis
    je goûte ton être
    je sais sa saveur.
    ton bonheur coquille
    qu’est quête d’envies
    de bon heure
    plonge ma bouche
    démon de vénus
    entre tes lèvres
    coule la cascade
    de limpide salive
    et de cyprine
    plonge ma langue
    girouette sur le bouton
    tendre starter saveur
    velours, leche majestée
    mon majuscule dressé
    patientera, je me tends
    et attends ton ravissement
    aimé

  • Etreinte

    T'étreindre, t'étreindre
    combat d'ange contre l'enfer
    N'est-ce pas magnifique cette voix qui parle
    me ment ceux qui c'est comme ça
    Et ces yeux qui désirent
    me ment ceux qui font croire
    N'est ce pas si tragique ces mots qui
    me ment ceux qui la seule solution
    Ne t'atteignent et cette musique
    me ment ceux qui la crise et pas les moyens
    En restant si proches, si loins
    me ment ceux qui on a tout tenté et pourquoi pas elle
    Pourquoi pas toi dont le corps m'appelle
    me ment ceux qui ont des sourires à l'envers
    Si fort que j'existe a tes côtés
    me ment ceux qui offrent leur sous-rires à l'enfer
    Toi seule, moi si seul.

  • Retrouvailles

    On se retrouvera, un peu timides, plein de désirs, on s'approchera, incertains et gauches, pressentant la chaleur du corps de l'autre.
    Se frôlant.
    S'effleurant.
    S'étreignant.
    On s'embrasera, langueurs, langues déployées, bouches conquérantes, cœurs vaincus.
    J'aurais tant pensé à ce moment. Tant regardé cette photo d'Allemagne, te rêvant nue, me souvenant de ton ventre, tes seins sous ma bouche. Te revoir nue. Nos lèvres se trouvent, s'épousent, se fondent. Nos peaux, en vallées, monts, rivières, des pays sages, des plaines en plaintes, gémissements, d'oú nos soupirs maîtres et exigeants de l'autre. Douceurs.
    Avant la tempête. Nos corps caressés, nos doigts emmiellés, nos sexes ensalivés.
    Je m'érige en ta main, je veux couler entre tes doigts, ruisseau dans ta bouche, électrisé, orage dans mes reins, de désirs alors que ma langue désire tes spasmes, ton bouton qui orne ta chatte que je lèche, gourmand et jamais repus. En ascension, au delà de ce que je sais, de ce que je préssent. Je veux ma langue en toi, en ce velours en ton plaisir. Je veux que tu l'absorbe entier et que malgré mon électrique errance, que tu me garde prisonnier, ta langue sur mon frein qui me lèche et moi, supplicié.
    Je te veux
    Je guette le moindre de ton souffle, je ressent l'infime de tes mouvements, je veux te tourner te retourner, venir profond en toi, durcir, perdre la tête, perdre tout contrôle comme quand tu à mon sexe dans ta bouche. Je veux te voir jouir, je veux couler en toi, m’éblouir de toi, je veux la lumière dans tes yeux alors qu'au fond de toi je fond et m'enfonce autant que mon lait se mèle à ton jus. Je veux que ton souffle soit mon oxygène, ton plaisir ma lumière. Je te veux

  • Effervescence

    Des baisers sur le bout du nez, la bouche, le ventre
    De la douceur et des baisers de soie de satin
    laisser ma main caresser ta peau,
    en ressentir la chaleur le velouté de ta peau
    De ton ventre a ta bouche remonter doucement,
    souffle court, langue legere , attentif a tes fremissements espérés
    Froler tes levres, bouches langues en suspension,
    temps arrêtté avant de goûter ta bouche
    Danse des langues, ivresse, satiné, bouche mordillée léchée,
    Conjuguaisons de souffles de soupirs ... Chuchottements
    Chercher des eclats des etoiles dans tes yeux
    t'embrasser encore et encore
    Nos corps dansent, se creusent, se remplissent,
    nos peaux se frottent, je glisse en toi
    A pleine main prendre tes seins tours
    tour douceur et force plonger en toi, s'oublier
    Se sentir liquide bouillant, fondre,
    Etre effervecence, gazeux liquide, infini plaisir

  • Rivière blanche

    A cheval sur ma tête,
    crâne l’entêtée
    genoux contre joues
    enjouée, prisonnières
    En joue, feu aux joues
    mes levres célèbrent
    tes lèvres alléchées,
    en feu, humides
    de salive, de désirs
    ce bouton qui frotte,
    ma bouche le veux écossé
    ma langue remonte la rivière
    se noie en tes enchantées
    profondeur, sa douceur
    son jus de satin
    ton bouton glisse
    m’embrasse
    m’embrase.
    Au bord de l’asphyxie
    je respire par à coup
    et replonge dans les délices
    ton bassin qui danse
    ta chatte qui vie de mon envie.
    ton envie que je veux bouillante
    de ma queue, impatience
    de ta jouissance, impatiente de tes doigts
    j’agrippe tes hanches, en teste
    le voyage, remonte à tes seins
    les empaumes, pince doucement les tétins,
    les sentir chauds au creux de ma main.
    vivants
    tu te penches, engloutie ma verge,
    bouche déplissant ce gland
    que plus rien ne protège de tes désirs
    tu le délaisse pour le saisir, le branler
    et lécher l’opale qui se soumet
    qui prends son insoutenable plaisir
    tes doigts magiques et ta bouche impériale
    ce frenulum qui se soumet
    et ma queue tout entière qui veux être dévorée
    tout comme moi je te dévore
    ta main prends possession de mes bourses
    gonflées. je me sent être un incendie
    je pourrais jaillir sur ta langue
    me dissoudre fondre mais je ne veux
    pas te devancer et j’écoute tes soupirs
    attentif aux frémissements de te chatte
    qui frotte sur mon visage
    a tes effluves Il n’y a plus rien que l’éternité
    de ta jouissance
    alors seulement je te fait don
    de ma blanche rivière

  • Mouillé

    dis-moi les mots
    qui mouillent
    infiniment, aimés
    qui font l’envie
    qui fouillent l’amour
    qui touille au deça
    du jouis, du jouis
    moi aussi j’ai dû
    feindre mes silences
    tant de temps perdu
    à esquiver le désir
    l’air de rien
    dis le, ne le demande pas
    touches ma queue
    chuchote à mon oreille
    ton corps qui me demande
    ta vulve qui me veut
    chuchote à mon oreille
    ton souffle, tes orgasmes,
    tes respirations, tes aspirations
    j’écoute

  • Stratosphere

    Ta bouche dresse
    élève, stratosphère
    ce jonc oriflamme
    impatient de ta salive.
    Ta langue innerve, titille
    frenulum électrisé
    toi la désirée, j’écoute ta peau.
    j’entends ton souffle
    sur la foi de mes doigts
    au sein du brasier.
    je croît de ta poigne
    tu serres, malaxe, coulisse
    d’éblouissantes menottes
    de doigts légers
    je coule l’opale
    bouillant, l’empire laiteux
    ta bouche, tes seins, ta chatte
    éblouissement
    au fond de venus
    être toi
    bander et remplir
    fondre et recommencer
    bander, te désirer
    s’éblouir
    de ton sourire

    de ta peau voyageur
    au long cours, parcours
    ivre du grain, ivre de vouloir
    invites-moi à la visite
    à corps éperdus
    d’etreintes résolues
    peaux ruisselantes
    sueurs suaves
    salives salines
    salaces caresses
    d’étreintes à l’heur
    d’étreintes en retard
    se frotter, se heurter
    ta chatte glisse
    contre mon os,
    ose l’enveloppe.
    je lappe, je jappe
    glisse et enserre
    mon gland.
    humidités, timidités
    Seins vénérés,
    aréoles divines
    tétins érigé
    moi érectile
    emboitement d’amants
    syncopés accouplés
    obsession de jouissance
    devenir la note boisée
    haletements, soupir
    silence

  • Fondre

    ce rêve ou nous sommes assis l’un à côté de l’autre. je ressent ta présence, ta peau brulante, tes cuisses, tes hanches qui me frôlent, je t’écoute parler, mon corps t’écoute. on se regarde dans le blanc des yeux, nos regards s’écoutent. je te désire. tu prends ma main et la pose doucement au chaud entre tes jambes. ta main déboutonne doucement et je durcit. ta paume s’invite en des replis de tissus, s’infiltre et enserre mon envie. mes doigts glisse le long de tes cuisse. je frôle un havre aimé tiède et humide. Ta paume appuie le long de ma tige, nos yeux sont aimantés, ton regard brille. tu prends mon gland, l’estime, l’enveloppe et tu joue avec sa peau. mes doits hésitent de ton bouton à ta fente qui devient plus chaude, humide, acceuillante. tu libère ma bite de son étui, cherche un rythme et tes doigts agiles me font un bien fou. j’humecte mes doigts et te revisite. ton bouton sacré La plus belle chose au monde. que je contourne, détaille, lit du bout de l’index, déchiffre. mon souffle change. ta main me brûle, je veux jouir, me répandre. je veux que tu soit douce, je veux que tu me fasse mal. que tu joue avec les replis quu enveloppent mon gland. Ta petite chatte devient sous mes doigts cyprine et mes doigts glissent en toi, tant de douceur, tant d’étrangeté dans cette grotte moite, huilée, je cherche à être le plus doux possible, le plus précis, je cherce ce petit endroit ou c’est glissant, tout doux, tout doux et je continue à te regarder et te trouver si belle. tes doigts descendent et remontent, fébriles, hésitants. je suis là, je ne suis plus là. ta bouche s’approche, je continue mes caresses, ta bouche me mange,ta langue m’enveloppe.je suis san défenses aucune. A ta merci. Quand ta lange descent le long de mon frein, titille, s’agite, je ne suis plus que brulant de désir, ma tête se remplit de boulonnement, de vapeurs, d’éblouissement. je glisse dans ta bouche, je brûle sous ta langue, tes doigts caressent mes petites balles et j’aime ça. je veux couler sur ta langue, dans ra vouche et que tu n’arrête jamais, je ressent ton plisir sous es dogt. tu me devore et je me sacrifie, je fond, je coule, mon corps entier se dissout sous ta bouche. ne t’arrête pas, je fond et te sent fondre aussi, j’aime tes petits cris. j’aime ce que tu me fais, ta langue qui pourlèche le dessous de mon gland, l’extase. le bonheur que je touche du bout de mes doigts ton extase


    mes doigts léger sur tes seins cathedrale, ma bouche sur le mont de venus, ma langue humide en apesanteur qui touriste les replis de ta fente, ma langue qui salive à l’orée de ton jour, hésitante et téméraire, lappe et qui lisse tes saveurs déliced. ma langue cherche à parler à ton plaisir. ma langue s’invite en toi. ma tête entre tes cuisse et mon souffle courant après ton petit bouton rosé. ma bouche te veux frémissante et ouverte, au centre de tes tensions, de tes palpitations. toi qui m’invite, m’attrappe, m’enserre, me lèche, me dévore, moi qui veut couler sur tes levres. l’exigence de ta bouche, toi qui me plonge en toi, moi qui ne sais plus. qui ne sais plus que cette idée, tes soupirs, ton chant, te voir jouir et en toi me fondre.

  • Splendeur

    ce cœur laissé à terre
    laissé là
    d'attente qu'on le jette
    ou le ramasse

    Donne moi ton heure
    Heureuse ment
    Je ment sur tes ires.
    accorde mon do
    Au diapason des désirs.
    J'attends mon heure.

    La splendeur nait pas au paraître.
    S'abandonner, sans se se battre

    S'abandonner.
    Se sentir de paix
    Parles moi des ruisseaux
    Des herbes sauvages
    Parles moi du vent.
    Je ne peux que voir.
    Écouter au delà des silences
    Je ne peux que taire
    Laisser passer les chagrins
    Caresser la peau
    la surface de l'eau
    Poser sur ton sourire
    Mes rêves
    Parles moi de rien
    Parles moi des jours
    Naissants
    de la lumière de l'aube
    Parles moi de ta splendeur.

  • Blanche rivière

    A cheval sur ma tête,
    crâne l’entêtée
    genoux contre joues
    enjouée, prisonnières
    En joue, feu aux joues
    mes levres célèbrent
    tes lèvres alléchées,
    en feu, humides
    de salive, de désirs
    ce bouton qui frotte,
    ma bouche le veux écossé
    ma langue remonte la rivière
    se noie en tes enchantées
    profondeur, sa douceur
    son jus de satin
    ton bouton glisse
    m’embrasse
    m’embrase.
    Au bord de l’asphyxie
    je respire par à coup
    et replonge dans les délices
    ton bassin qui danse
    ta chatte qui vie de mon envie.
    ton envie que je veux bouillante
    de ma queue, impatience
    de ta jouissance, impatiente de tes doigts
    j’aggripe tes hanches, en teste
    le voyage, remonte à tes seins
    les empaumes, pince doucement les tetins,
    les sentir chauds au creux de ma main.
    vivants
    tu te penches, engloutie ma verge,
    bouche déplissant ce gland
    que plus rien ne protège de tes désirs
    tu le delaisse pour le saisir, le branler
    et lécher l’opale qui se soumet
    qui prends son insoutenable plaisir
    tes doigts magiques et ta bouche impériale
    ce frenulum qui se soumet
    et ma queue tout entière qui veux être dévorée
    tout comme moi je te devore
    ta main prends possession de mes bourses
    gonflées. je me sent être un incendie
    je pourrais jaillir sur ta langue
    me dissoudre fondre mais je ne veux
    pas te devancer et j’ecoute tes soupirs
    attentif aux frémissements de te chatte
    qui frotte sur mon visage
    a tes effluves Il n’y a plus rien que l’éternité
    de ta jouissance
    alors seulement je te fait don
    de ma blanche riviere

  • Elle (I.S.) texte remanié…

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    Avant
    Il l’avait enfin rencontré, n’avait que d’yeux pour elle… 
    Trop belle pour lui… sa bouche fraise l’iris menthe perdu au loin…
    Ses pieds nus, ses fines chevilles , effleuraient le sol 
en apesanteur, en suspension. 
    poussée par le vent, elle flottait.
    Elle, là, lui, sa tête vide… ses mots définitifs 
    ses phrases, sans sens, des sentences jetés au silence.
    Elle, indifférente. 
    Lui… ne montrer ni son intérêt, ni son désir.
    jouer le beau mysterieux.

    Suite de la soiree, les amis,
    métro, il l’accompagne,
    rester auprès d’elle…
    le plus possible
    Peur. Ne pas la brusquer.
    sentir son parfum. la respirer.
    La chaleur de ses jambes, 
    le coussin de sa peau,
    elle contre lui. si proches…
    ses mains… ses genoux, là
    Lui, n’aurait jamais osé. 
    si seulement… si seulement…
    si seulement…
    Seulement la raccompagner…
    l’accompagner…
    Elle dit …
    inespéré…
    «tu ne m’emmènes pas chez toi?»
     
    La pénombre protégeait leurs délices.
    Elle, ses doigts, Elle, 
    naufragée volontaire de son jean s’affairait.
    Lui, doigts nomades posés, territoire d’aventure, 
    merveilleux, souffle retenu, vertige
    l’entrebaillement cotonneux d’un slip humide… 
    Elle, cuisses s’ouvrant au plaisir d’être caressée.
    S’embrassent, se dévorent, se goûtent.
    Baiser timide, deux bouches se frôlent,
    langues se déliant, s’accouplant
    Bouches fleurs téméraires.
    Corps à corps empressé, Bander.
    Elle le guide, l’invite…
    Ils sont déjà de vieux amants.


    Pendant
    La nuit… Elle n’avait plus de nom, ou trop… Elle etait brune, rousse, blonde, Elle était toutes les femmes avec qui il avait fait l’amour, qui avaient bien voulu coucher avec lui, dont il avait rêvé, depuis toujours, Elle Unique… le reflet de son désir, la réponse à ses obsessions…
    Son pénis tendu réclamait satisfaction, il était Exigeance, et réclamait son dû… il jouir. Finir sa course du fond de ce ventre délicieux et acceuillant, vite, exploser tout de suite.
    être mangé par ce sexe chaud et crémeux qui l’enveloppait, se dissoudre en mille goutelettes lumineuses. Sexe qui dansaient l’un avec l’autre.
    Humide de sa salive, son gland chatouillait le merveilleux clitoris. Le sentir tout dur l’enchantait. son gland lissait et se frottait contre lui. Brûlait d’envie de couler ce sperme offert. Il désirait l’entendre chanter à son oreille, la pénétrer au plus vite, perdre conscience et raison, laisser aller son corps fiévreux contre sa peau si douce.
    Ses mains caressent, soupèsent les seins d’or de son amante. leurs reins s’emballent, cheval fou, plus profond, il cherche à venir, virevolte, dérape, plonge, à cogne contre les parois bouillante de cette grotte enchantée. Il s’arrête, comptemple ces yeux mi-clos, ces lèvres frémissantes, ces apétissantes courbes, clavicules, pointes de ses seins. 
    Il songe : «je veux te baiser, te baiser, te baiser, je veux t’enfourcher, t’enculer, t’enlacer, sans te connaître, te reconnaître, sans te devoir amour, sans te devoir tendresse. Ne me demande pas d’être raisonnable, j’ai faim, j’ai envie des ces envies, que rien ne peux freiner», frénésie, désir de chair, jouir, encore et encore…
    Se heurtent leur bouches, se cherchent, leurs langues. boit salive, lappent, lèchent leurs dents, leurs levres. 
    Elle l’attire, bouche ventouse, langue limace électrique. Il persiste a la culbuter. Ses reins se retiennent, il résiste, tente de penser à d’autres choses, mais l’envie d’exploser est forte. Impérieux. Leurs pubis frottent, chauffent, bouillonnent. 
    Il ferme les yeux, des images s’incrustent derriere les paupieres. Il l’imagine vêtue de bas, le haut des cuisses nues. Une seconde peau caressée lentement. un fin voile embellissant et soulignant les jambes… de la douceur au bout de ses doigts. magnifique! 
    Prendre son temps… 
    Mains ascensionnelles. Doigts aériens, légers… 
    Mains douces et chaudes posées nonchalement sur touffe de poils chaude et humide… Doigts qui visitent, hésitent et plongent…
    Il n’est plus là, dans ce lit, Ils sont dans le metro, dans un magasin, dans la rue. Il imagine…
    Elle, empalée sur Lui. Reins qui s’agitent, rapides, se tends, s’arc-boutent. être ancré à elle, profondément. il bande dur, et c’est presqu’agréablement douloureux. Il attrape ses seins, ses tetins, les happe de sa bouche.
    Elle ressent la caresse à ventre, lui tortille ses poils qu’il aime. Son clito frotter contre son bassin. 
    Il aimerai qu’elle lui prenne les bourses, qu’elle les prennent en bouche. La position est malaisée… 
    Il la veut, Il veux l’entendre crier, haleter, soupirer… Il s’agite pour extirper à ce corps des soupirs et des chants…
    De nouveau il ferme les yeux, imagine qu’elle se caresse, offrande,  ce spectacle dans un métro, discrètement, lui seul sait ce qu’elle fait… sous son manteau ses mains caressent… plongée des doigts. Il ressent fort son plaisir discret. Le partage, bande et elle sait qu’il l’attraperait après.
    Sa bouche, Ses seins, Ses fesses l’exitent au plus au point, mais plus encore ; il visite sa petite chatte et ce voyage les emmènent dans une extase. Petits cris, tes tensions qu’il ressent dans tout ton corps, ses tremblements, ses sueurs, cela le mene à la rejoindre en cet éblouissant rivage.
    Ils ne font qu’un, reins s’épousant et valsant de concert… son con serre et l’etreint. il la tourne, la retourne. A fleur de peau, leurs caresses se retournent contre eux, croyant exiter l’autre, ils se chauffent et il résiste tant que se peux à l’imperial désir de jouir tout de suite, voulant faire prolonger cet instant d’avant la petite mort.
    Leur corps semble s’affranchir de la pesanteur, leurs peaux baignée de sueur glisse, de petits clapotis, de petits bruits incongrus naissent d’entre leurs ventres. 
    Ces deux corps s’agitent dans une danse désordonnée, d’une urgente course, ce n’est pas une bataille mais cela y ressemblerait s’ils ne naissaient des sourires et des soupirs de leurs lèvres jointes. Ils s’accrochent, se griffent, se caressent. le penis, coulisse, sort, rentre, parfois il s’égare au dehors, émerge gland dehors luisant, comme pour respirer. il entre a nouveau, son rythme s’accélere, décrois, son ventre à elle, est aussi affamée que le sien, mais elle le mange, le devore, tente de l’empêcher de sortir de nouveau, son ventre à elle veut son sperme et elle fait tout pour qu’il cède, lorsqu’elle pense qu’il va dégorger sa sève, alors, il ralentit son allure, de petits mouvement immobiles, mais profonds, résolus… 
    il ne recule plus mais semble s’enfoncer encore plus loin… et là elle cède, elle recède de nouveau lorsque ce pénis devient un petit ver rapide, un python royal, une anguille qui l’électrise. 
    Elle a la chair de poule, des frissons et plus encore. Lui, son dos, est luisant de sueur, de petites goutelettres coulent le long de la colonne vertébrale, il a aussi des petits frissons… 
    Il accélere, il se sent éclater, son gland est le centre de l’univers. sa sève monte… elle est semble concentrée en ce lieu, il voudrait jouir tout à la fois, dans sa bouche, couler dans sa gorge, sur ses seins, dans son anus, étaler son sperme sur ce beau corps qui lui fait fête, il voudrait qu’elle le caresse, son gland enveloppé par ses cheveux, jouir dans ses bas, entre le nylon et la peau… par dessus tout il voudrait l’entendre crier, gémir - ce qu’elle fait - il lui semble que son plaisir à elle le guide dans le sien. leurs ventre explose, supernova, leur ventre illumine le jour, la nuit, il n’a plus de souflle pour penser, le long de sa colonne vertébrale, un petit courant électrique… il s’enfonce, et l’univers implose, son gland devient mer, tempête, incontrolable volcan aussi… 
    le long de son pénis coule la vie, son regard se trouble, sa pensée s’illumine. sa pensée l’éblouit
    Elle est si belle, si… son ventre si chaud et lui si liquide, qui fond et explose en même temps, cette chaleur au bout de son pénis qui remonte tout le long de son corps, cette petite chatte si belle, si bonne avec son gland, qui l’étreint, l’acceuille et le dévore et lui qui disparait en ce corps, contre ses seins, dans sa bouche, les étoiles luisent longtemps, ils jouissent ensemble, leur deux corps se dévorent, et le silence soudain prolonge leurs soupirs.

    Après
    Sur un lit de satin noir             sperme coule, éclabousse
    une araignée, nue                   s’étale sur la nuit satinée .
    et désirable                            Flaque d’or pale
    écartelée, pénétrée.                rivieres opales             
    Ses longs bras,                      nombril petit lac de lait 
    ses longues jambes                deux corps tiedes           
    ses seins pointés                    assoupis.
     
    Fins filaments s’étirent, sèchent, craquellent
    Extases rêvées, Sommeils d’après
    chauds et profonds comme un songe d’opium.
    déjà des parfums, des muscs, des sueurs sucrées
    baignent les draps et les corps endormis.
    Une parenthèse dans une lutte accord, 
    des envies renaissent et demeurent
    des désirs de nudité, de peaux, de l’autre
    des corps affamés, devenir l’autre…
    s’y perdre, s’oublier.
    S'aiment, s'aiment…

  • Discretes insurections

    Aime moi malgré moi
    Moi qui cherche sous tes pas
    la poussiere.
    Aime moi malgré moi
    Ne me demandes ni
    si je veux ni ce que je ne sait.
    Vole mon silence.

    Coulis de bisoux sur chocolat et sa pulpe de lèvre velouté
    Longe de caresses sucrée salées sur son lit défait

    discretes insurections entre l'amour et l'envie

    Je me hâte d'exister, de peur d'en perdre l'envie

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  • De toi


    Qu'avant que la boucle
    Ne se referme
    que toi, c'etait tout
    Tout de toi me plaisait
    Je n'ai été personne,
    je n'étais qu'ami
    amoureux, amant
    de tout
    de moi
    de toi
    tout ce temps
    ou à force
    ce fut tout sans toi
    là j'étais quelqu'un.
    Je n'ai été personne
    de toi rempli
    Je n'ai été que toi.

    mobile_picture

  • Ciné ixxe

    A peine l'obscurité faite dans la salle, sa main se pose sur mon sexe. De toute façon je ne regardais pas l'écran je cherchais une position afin de regarder le film au plus près d'elle. Son parfum fort m'ennivrais et dans la penombre je devinais les centimetres de chair libre de ses bas. Elle etait un cadeau. Un jour elle s'etait offerte enrubannée d'un corset rouge qui devait se defaire d'un joli nœuf comme un paquet cadeau. C'etait jour de fête charnelle. Ne manquait que le feu d'artifice. Elle etait si belle, offerte. A moi qui n'esperais plus une personne comme elle. "Tu veux que j'ôte ma culotte ?" Je ne souhaitais que ça... Evidemment. Sous sa main j'etais dejà dur. Je m'inquietais du regard du rang derriere. "J'ai envi de toi dans ma bouche". Elle me deboutonnais et lecha mon gland. Je perdis de l'interet pour le film a l'ecran. Sa langue tournais sur mon frein, légere, précise et paradisiaque. "Je veut gouter ton sperme" elle arriva à un de nos rendez-vous vetue d'un pantalon troué. Sur un banc invita mes doits a explorer la couture décousue. C'était un joli soir d'été. Elle devançait mes désirs avant même que je puisse les exprimer. Sa bouche delaissant trop vite ma queue, son sexe nu, je la caressait, mes mains glissaient le long de ses bas, mes doits cherchaient le bouton, et glissaient le long de sa fente humide et chaude. Je ne savais si je devais m'inquieter du voisinage ou pas. Sa mais glissait le long de ma queue. Je la desirais forte et aerienne, je voulais ses doits rapides et legers, fermes et sensuels, je la regardais d'une main je lui rendais le plaisir qu'elle me donnais de l'autre je cherchait la pointe d'un sein. La douceur d'un mamelon. Mon souffle s'emballais, je tentais de le bloquer, de le redre silencieux, je l'embrassais et la regardais dans le blanc de ses yeux. Extatique. Sa main montait, descendais, son sexe avalait mes doigts. Nos yeux se rencontraient. La tiedeur humide de sa raie m'avalait tout cru, je la sentais couler, brûler, je me sentais prêt à fondre dans sa main. Je la sentais palpiter, j'aurais voulu disparaître en elle. Mes reins bougeait lentement et discretement, je me tendais, accompagnais son geste. Mon souflle court, queue et tête bouillante. Ses bas, sa chatte, ses seins, ses yeux, sa bouche. Dans mon esprit c'etait un bordel atomisé. Ebullition. Je ne savais plus ou j'etais, de quoi parlais le film ? Sa main decalottais mon gland, s'amusait de la soumission de son digital dictact. Mon gland gonflé, bouillant prêt à exploser, impolsion dans mon esprit. Je me dissolvais deja sous ses doigts, mes doigts gluant de delice cyprine, ma bouche de sa salive, de nos baves. Je voulais que jamais ce moment ne cesse. Que cette ebullition soit permanente. L'agilité, la douceur des ses doigts qui s'agitait sur mon membre. En exitait toutes les terminaisons nerveuses, sa caresse precise et delicate avait raison de moi, je continuais a la regarder, presque nue, exitante. Je sentais ma seve monter et ne pouvais rien y faire, ma respiration se bloquait. Elle etait l'etincelle et ma bite etait braise. Ses doigts titillant mon gland comme mille bouches. Mon opale lait qui soudainement coulait entre ses doigts, eblouissement et si douce brulure coulant dans sa main. Je coulais pour elle, et plus je fondais plus je la desirais. Plus je voulais ses seins, sa chatte, son corps. "Tu as bon gout" et moi qui ne voulais que me glisser en elle. mobile_picture

  • je veut

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    Aime moi malgré moi
    Moi qui cherche sous tes pas
    la poussiere.
    Aime moi malgré moi
    Ne me demandes ni
    si je veux ni ce que je ne sait.
    Vole mon silence.
    J'ai un Je veux sous la langue

  • petits bouts de merveilles

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    un petit bout de ton âme
    est scotché sur ma peau.
    de petites gouttes de larmes
    coulées sur les joues.

    Parfois des larmes retenues,
    parfois de la joie contenue.

    de toi
    il m'est resté
    caresses et baisers ;
    du bout de tes ongles
    d'explosives jouissances

    je songe au jolis
    petit bouts de seins
    au bout du compte
    caresses désiraient
    le petit bout de ton âme


    mobile_picture

  • l'empire décence

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    Sous son plus beau jour, offre moi une nuit d'amour
    Je m'éveille à toi ; les rêvesrbères peuvent donc s'éteindre.
    La nuit a beau faire, toujours le jour se lève.
    Nos rêves nous ont soufflés tendres secrets
    des ce qui est cher est tendre, des ce qui est rare est chair.
    L'amour c'est toi à l'infini.


    à commettre des fragrances délices,
    ma ligne de raison vacille, dérive.
    Ta peaux appât, à toi me mène
    Indecente, silencieuse, incandescence
    de la pointe de la langue, j'effleure la merveille
    langueur inflorescence de ta perle vermeille


    Ne jamais, jamais tomber en panne des sens
    Rien ne passe plus vite que temps brasser
    toutes sont étincelles, tout feux éteint sera sanctionné.
    un qui n'a pas eu peur des lents de mains, vit au jouir le jouir
    jamais ne devrait être lit au dehors du dit les je t'aime.

  • Toujours

    j'aimerai ajouter

    des miettes d'éternité,

    un peu de toujours

    d'éblouissants baisers.

    A l'oublié détour de caresses

    tracassin de toi, fier amant

    au bout de mon chemin, jurer

    à la nuit de traversin

    la loyauté des loups.

     

    Silencieux, à rêver

    Tel le vent, sur le velouté

    de sa peau, voyageant.

    A son insu, bringueballé,

    transporté sans ménagement,

    par la tendresse de son visage

    bousculé.

     

    Mes yeux ne voient

    que ses yeux lumineux,

    sa bouche magnétique,

    m'aimante et m'attise

    ce rêve volutes de baisers,

    chamarée d'étreintes,

    toi, pamoison, ravissement

    chaudes langues de soie,

    attisés.

  • Fuck friendly

    Saveur d'ôter vert soie suave
    de douleur à douceur, jamais assez
    d'ailes pour m'envoler,
    jamais assez de tes baisers vanillés.
    Vouer à nos ivresses charnelles
    nos paresses d'étés, si ne m'aimes l'amie,
    jamais je n'aime, à deux nos solitaires plaisirs.
    même si nos élans sauvent nos peaux,
    cents lendemains, éblouis au jour d'hui.
    Dévouée louve voulue, lumière sans ombre.
    Amicalement valent mieux à deux partagés,
    plaisirs briselarmes, nos instants lumineux.
    cent sentiments, juste nos questions-réponses
    peau sur peau, cent poésies, juste sexe cité.
    Nos paresses d'été, jamais assez
    de ces baisers nus vanillés.

    mobile_picture
  • lagune

    dans la chaleur de la nuit, dans mes rêves,

    sur ma peau, il y a une trace de toi…
    tes yeux clos, ta bouche entr'ouverte.
    mes mains posées sur ton ventre tout chaud…
    tu dors encore et tu sait que je veux ton plaisir.
    Au bout de mes doigts agiles, ton humide royaume.
    Je viens le visiter, lorsque j'entre en toi, tu t'éveilles.
    Je regarde tes yeux briller.

    Je te veux nue, à ma bouche offerte, tes seins délié de par ma langue,
    d'ennivrants baisers. Ta lagune à laquelle ma bouche rivée boit et lèche,
    que se mèlent nos corps… que cette fièvre braise danse.

    nos corps emmelés,
    nos peaux imbriquées
    nos langues virevoltées
    nos sexes emboîtés
    nos âmes mélangées…

  • Le modèle

    Dessinant le contour de ce sein

    le graphite caressant la pointe tendue

    delicatement ce blanc mamelon

    ces belles pointes brunes

     

    d'un trait délié, passant à ton con

    où ma mine s'attarde à en lisser

    ta fine raie, d'ombre et de lumière

    les courbes halées de tes fesses

     

    cuisses caressées d'un crayon

    tendre, là ou la peau est si soyeuse

    dure, là où la chair exprime l'envie

    remontant, hésitant, soulignant…

     

    donnant de la chair au désir

    de ce corps, de cette âme

    abandonnée, divine

    l' aimer, s'y plonger

     

    Baiser cette bouche offerte

    ces yeux mi-clos, éblouis

    cette petite riviere où s'insinue

    un crayon de lait et de feu.

  • Le modèle

    Dessinant le contour de ce sein

    le graphite caressant la pointe tendue

    delicatement ce blanc mamelon

    ces belles pointes brunes

     

    d'un trait délié, passant à ton con

    où ma mine s'attarde à en lisser

    ta fine raie, d'ombre et de lumière

    les courbes halées de tes fesses

     

    cuisses caressées d'un crayon

    tendre, là ou la peau est si soyeuse

    dure, là où la chair exprime l'envie

    remontant, hésitant, soulignant…

     

    donnant de la chair au désir

    de ce corps, de cette âme

    abandonnée, divine

    l' aimer, s'y plonger

     

    Baiser cette bouche offerte

    ces yeux mi-clos, éblouis

    cette petite riviere où s'insinue

    un crayon de lait et de feu.

  • Nuit profonde

    Elle pense : "même en enfer, je t'y suivrais si mon éternité était faite de ton amour"

    L'ombre s'était faite autour de leurs peaux, chaude, par vagues de tiédeur, et de fraîcheur par instant…
    elle les enveloppait de sa rassurante noirceur… elle etait empreinte de murmures et de chuchottis…
    elle ne savait ni ou elle était, ni depuis combien de temps elle se trouvait là…
    elle n'avait pas peur…
    Elle pense : "même en enfer, je t'y suivrais si mon éternité était faite de ton amour"
    des mains se posaient sur elle, ni hésitantes, ni insistantes…
    comme si des pétales de fleurs tombaient sur elle…
    "tu viens ?... je t'emmène" dit-il
    son pas hésitant, ses pieds nus sur un sol boisé, parfois elle butait contre…
    quoi? quelque chose ? quelqu'un? mais sa main secourante, douce et ferme la menait,
    elle oubliait de s'interroger, son appréhension la quittait lorsqu'elle sentait ses doigts au bout des siens…
    et sa voix… chaude et envoutante… qu'elle reconnaissait dans l'obscur, sa lumière à elle…
    Elle aurait pu le suivre, seule, à son parfum qui traînait derrière lui… son musc, son effluve…
    parfois elle sentait des lèvres effleurer les siennes, des langue se poser sur sa bouche
    tellement fugitivement qu'elle se demandait si son imaginaire ne se jouait pas d'elle…

    de ses fines chevilles des caresses, milles doigts remontaient, le mollet, son genoux, le creux poplité.
    Se pouvait-il que ses mains aient autant de doigts, que ses caresses soient aussi douces?
    son parfum lui indiquait qu'il était bien auprès d'elle… cette sensation d'une armada de plumes, de fines mèches de coton s'emparait d'elle…
    sa peau, son corps se recouvrait de milles flocons de neige, s'évaporant à peine posé sur elle…
    Son ventre exigeait, et elle se dit que ces doigts mettraient un temps infini a arriver à son santuaire. elle voulait sentir son corps contre elle… le sentir dur, bandé contre son ventre… mais elle n'était visité que par vent et nuages… un vent malin… quasi impalpable…
    là sur le genou, là effleurant le haut de la cuisse, se posant à présent sur le nombril, s' évanouissant, se jouant d'elle, aveugle dont tous les sens étaient cependant en éveil, elle guettait, prévoyais la prochaine caresse, et se trompait toujours… ses oreilles percevaient le frissonnement de sa chair, les déplacement des êtres autour d'elle, et chaque pas semblait absorbé par le bois sur lequel elle avançait…
    Etait-ce une plume, des ongles, était-ce un glaçon ? elle identifia cependant la main qui la quitta et qui referma le froid métal sur ses poignets… son parfum… elle chercha sa bouche… en trouva une … lui? des lèvres de velours… "il" croquat sa levre inférieure, sa langue l'humectait… elle voulu répondre a ce baiser, mais ne trouva rien… elle ne savait si elle etait seule ou si les "autres" étaient là… le noir, toujours chaud, elle etait nue, recouverte d'un fin linge de soie, léger, translucide, et confortable… elle n'avait pas froid… elle se sentait bien, et confiante… elle attendait que quelque chose arrive… elle demanda, personne ne repondit, alors elle avança, buta contre une chose qu'elle identifia comme un lit ou un canapé…
    De nouveau, elle sentit derriere sa nuque, son souffle, son odeur…
    a quelque millimetres d'elle…
    elle sentait son érection…
    elle voulait qu'il agisse…
    la pointe d'un sein fut léché… délicatement… ce ne pouvait être lui… qui?
    son sein pointait, il se durcissait sous cette langue aérienne… elle voulait être têtée, désirait que cette bouche l'absorbe tout entier…
    rien que la légereté…
    l'autre sein fut à son tour lippé…
    "ce n'est pas possible" ce n'est pas QUE lui…"
    silence…
    autour d'elle ça se deplaçait, elle cru entendre des linges tomber à terre…
    on l'embrassa, elle pensa que deux bouches se disputaient la sienne, sensation de deux langues qui se glissaient, léchaient ses dents, sa langue, ses lèvres…
    elle voulait étreindre mais ses mains étaient retenus, contraints…
    elle se sentait tomber, vertige…
    sa nuque recouverte de baisers, frissons… la naissance de ses seins…
    la nuit… elle distinguait a présent des formes fugitives… son imagination ?
    "Ou est il ?" qui sont ils , Mais si c'était des femmes ?" elle ne pouvait rien faire… chaque baiser en appelait un autre, délicieux… Il était trop tard, elle ne pouvait plus résister… elle se sentait tomber au fond d'un précipice… elle décida de s'y abandonner…
    son ventre… elle voulait que ces bouche s'y pose vraiment… au plus vite… qu'elles décollent, qu'elles se posent vraiment…

    lui : "tu viens ?... je t'emmène"
    Elle pense : "même en enfer, je t'y suivrais si mon éternité était faite de ton amour"

    Il la mena à ce qu'elle avait identifiée comme un lit… il s'y laissa tomber avec elle, l'embrassant, l'étreignant comme elle l'avait souhaitée…
    Il pris ses bras et les etira au dessus de sa chevelure, détacha et rattacha les bracelets a ce qu'elle supposa être une tete de lit…
    de nouveau elle sentit tous ces doigts sur ses seins, il l'embassait… elle le reconnut… au gout sucré de sa salive…
    on installa sur ses yeux un bandeau, qui rendait la pénombre d'encre. Le court instant de l'installation, elle eu le sentiment que la nuit était moins obscure… sensation d'être regardée, sous sa nudité, admirée?
    des froissements de tissu,, des corps qui glissait sur la soie du drap, des peaux se frôlaient, des étincelles de désir s'allumait… des gémissements près d'elle dans sa nuit, des souffles courts et des respirations qui s'ébouillantaient… elle ne pouvait que s'imaginer ce qui se déroulait près d'elle… la couche ballotait au gré de leurs extases, ces corps qui parfois la touchait, et elle qui s'installait dans l'impatience…
    Son parfum restait auprès d'elle, et elle ne savait ce qu'il faisait… elle recevait sa bouche, d'autres bouches explorait son corps qui s'abandonnait, qu'elle sentait devenir peu à peu liquide, une mer qui se dechaînait, vaguelettes de plaisir qui ne tarderaient pas à devenir vagues d'extases…
    une bouche friandise descendait de ses seins, le long de son ventre, se perdant en chemin avec d'autre bouches, s'attardant là sur le nombril, là dessinant des 8 de salive… a présent les mains, les bouches se faisaient plus hardies… Incapable d'imaginer précisement ce qui se deroulait autour d'elle, tant elle semblait être l'épicentre d'un magma de sensations…
    Ou etait il? cette bouche, cette main, c'est lui?
    une main ferme et douce lui ouvrait les jambes, les vagues de baisers et de caresses l'ennivrait… elle se debattait, se frottait contre les corps brulants…
    son souffle s'affolait… elle etait sa chose, mais il la partageait et dans sa pensée sauvage, se demander s'il lui offrait ce plaisir ou s'il l'offrait elle etait impossible…sa chose, son âme, son plaisir… Finalement elle etait heureuse de s'offrir pour lui et de recevoir son offrende, les autres pour elle…
    Son bouton, lappé, léché, sucé, titillé, devenait d'un coup le centre du monde rien n'existait d'autre que cette brulante torpeur qui d'un coup l'assaillait… elle était bonbon, friandise, elle coulait dans la gorge de son assaillant(e) "je suis une sucrerie, un sucre d'orge… je vais fondre…"
    Les soupirs alentours ne cessaient pas, mêlés aux siens… une symphonie charnelle, une petite musique de nuit, qui chauffait l'âme aussi sûrement qu'un brasero. Lorsqu'elle poussait ses petits cris, ses feulements de chatte, elle savait que son amant adorait… il prenait cela comme un acquiescement, une confirmation du plaisir qu'il lui donnait…
    Elle s'apercevait que les soupirs étaient féminins, d'autres masculins, dans sa nuit elle pouvait a présent localiser les corps…
    un petit bruit électrique…
    doigts et langue sur sa jolie fente… délicats et experts, des mains sur son ventre, d'autres sur ses seins, pas un centimètre carré, n'était épargné… elle n'était que caresse, qu'ivresse. A ses lèvres se présenta alors une forme douce, elle goba… l'exitation montait… sous sa langue elle sentait la forme gonfler et durcir… elle goutait l'instant… ne savait ou sa conscience devait se focaliser… elle n'était plus, elle était ces êtres, elle devenait leur désir, leur envies, leur respiration, elle était leur sperme, leur cyprine, elle devenait leur jouissance, leurs orgasmes étaient le sien…
    Son ventre, ses cheveux recevait des goutelettes brulantes. sa fente acceuillait des doigts inquisiteurs qu'elle aurait aimé plus profonds, plus rapides… sa bouche se délectait, son ventre plapitait… une chose électrique s'enfonçait en elle… qui d'elle ou de cette chose vibrait? ça perçait son âme…
    basculée sur le côté, elle retrouva le parfum aimé, il lui lecha la nuque, et se presenta à son anus, à son habitude il lui caressait les fesses de ses belles mains chaudes et genereuse… sa main se perrdait par mi d'autres, elle ne pouvait plus faire aucune différences… son corps reclamait exigeait, son plaisir s'imposait, et elle n'avait plus de centre, ni de périphérie… juste une série d'éblouissements, par vagues. son corps se collait, une fine couche de sueur entre eux… il s'enfonçait lentement en elle… son bassin répondait… devant la chose continuait à l'électriser et son ventre éclatait en de milliers de décharges électriques. sa bouche désirait un nectar inconnu, un gout nouveau… elle desirait que l'inconnu jouisse à présent… elle perdait la tête… une tempête se déclanchait… sa peau ballottée… bringueballée, aspergée, goûtée, cette odeur de sperme qui la rendait folle… se rendre… rendre les armes, ne plus résister… la tension du gland léchée, atteignait son maximum elle sentait bien que lui aussi allait se rendre, sa gorge le recevait et il se raidissait, se tendait… il était prêt à éclater comme un fruit mur… elle voulait le boire… elle voulait qu'il gicle là sur sa langue… découvrir son gout… lorsque son sperme coula; son amant déjà entré, elle sentait a travers la fine paroi deux formes invitées l'emporter au delà du temps et de l'espace… elle joui une nouvelle fois… des éclairs… des flash… des frissons… il la rejoint.
    entre deux éblouissement elle pensa "même en enfer, je t'y suivrais si mon éternité était faite de ton amour".

  • Avant

    Il l'avait rencontré, n'avait que d'yeux pour elle… 

    Trop belle pour lui… sa fraîche bouche fraise

    son vert iris perdu au loin…

    Ses pieds, ses fines chevilles semblaient nus, 

    effleuraient le sol sans jamais se poser. 

    Ses pas la menait, poussée par le vent.

    Elle était là, lui, sa tête se vide… ses mots définitifs 

    ses phrases, des sentences jetés au silence.

    Elle semblait indifférente. 

    Lui… ne montrer ni son intérêt, ni son désir.

    jouer le bel indifférent. 

    Apres cette soiree chez des amis,

    sa présence à ses côtés… métro

    rester auprès d'elle…

    avoir peur. Ne pas la brusquer.

    sentir son parfum. la respirer.

    La chaleur de ses jambes, le coussin de sa peau,

    elle contre lui. leurs mains si proches…

    Lui, n'aurait jamais osé. si seulement…

    Seulement la raccompagner…

    l'accompagner…

    "tu ne m'emmènes pas chez toi?"

     

    La pénombre protégeait leurs délices.

    Elle, sa main, naufragée volontaire de son jean s'affairait.

    Lui, ses doigts nomades posés, territoire d'aventure, 

    l'entrebaillement cotonneux d'un slip humide… 

    Elle, Ses cuisses s'ouvrent au plaisir d'être caressée.

    Ils s'embrassent, se dévorent, se goûtent.

    Un baiser timide, deux bouches se frôlent,

    deux bouches fleurs téméraires.

    Corps à corps empressé, le fait bander.

    Elle le guide, l'invite…

    Ils sont déjà de vieux amants.

  • Pendant

    Elle n'avait plus de nom, ou trop… Elle etait brune, rousse, blonde, Elle était toutes les femmes avec qui il avait fait l'amour, qui avaient bien voulu coucher avec lui, dont il avait rêvé, Elle etait l'Unique… le reflet de son désir, la réponse à ses obsessions…
    Son pénis tendu réclamait satisfaction, il était Exigeance, et réclamait son dû… il voulait tout de suite jouir. Il voulait finir sa course du fond de ce ventre délicieux et acceuillant, et exploser tout de suite, rien d'autre ne comptait. Il voulait être mangé par ce sexe chaud et crémeux qui l'enveloppait, il voulait se dissoudre en mille goutelettes lumineuses. Ce sexe qui répondait à ses allées et venues.
    Humide de sa salive son gland chatouillait son petit clitoris. Le sentir tout dur l'enchantait. son gland lissait et se frottait contre lui. Il brûlait d'envie de couler sur lui tout le sperme qu'il pouvais déverser, l'entendre chanter à son oreille, la pénétrer au plus vite, perdre conscience et laisser aller son corps fiévreux contre sa peau si douce.
    Ses mains caressent, soupèsent les seins de son amante. ses reins s'emballent, en cheval fou, plus profond, il cherche à venir, à cogner contre les parois bouillante de son utérus. Son pénis, virevolte, dérape, plonge en cette grotte enchantée.
    Il s'arrête, comptemple les yeux mi-clos, les lèvres frémissantes, les apétissantes courbes, les clavicules, les pointes des seins. Il songe : "je veux te baiser, te baiser, te baiser, je veux t'enfourcher, t'enculer, t'enlacer, sans te connaître, te reconnaître, sans te devoir amour, sans te devoir tendresse. Ne me demande pas d'être raisonnable, j'ai faim, j'ai envie des ces envies, que rien ne peux freiner", frénésie, désir de chair, jouir, encore et encore…
    Se cognent leur bouches, leurs langues se cherchent, lappent, il bois salive, il lèche ses dents, ses levres. Elle l'attire,sa bouche ventouse, sa langue limace l'électrise. Il persiste a la culbuter, Ses reins se retiennent mais l'envie d'exploser est forte. Leurs pubis frottent, se chauffent. Il ferme les yeux, des images s'incrustent derriere les paupieres. Il l'imagine vêtue de bas, le haut des cuisses nues. Une seconde peau caressée lentement. un fin voile embellissant et soulignant les jambes… magnifique! Prenant son temps… Mains ascensionnelles. Palpent… Mains douces et chaudes posées nonchalement sur ta touffe de poils chaude et humide… Doigts qui visitent, hésitent et plongent…
    Il n'est plus là, dans ce lit, Ils sont dans le metro, dans un magasin, dans la rue. Il imagine…
    Il rouvre les yeux, Elle empalée sur Lui, tes reins qui s'agitent, rapides, Il se tends, s'arc-boute pour être encore plus profondément ancré à elle, il bande dur, et c'est presqu'agréablement douloureux. Il attrape ses seins, ses tetins, les happe de sa bouche.
    Elle ressent la caresse à ventre, lui tortille ses poils qu'il aime. Son clito frotter contre son bassin. Il aimerai qu'elle lui prenne les bourses, mais la position est malaisée… Il veux l'entendre crier, haleter, soupirer… Il s'agite pour extirper à ce corps des soupirs et des chants…
    De nouveau il ferme les yeux, imagine qu'elle se caresse, qu'elle lui offre ce spectacle dans un métro, discrètement, lui moi seul sait ce qu'elle fait… sous son manteau ses mains caressent… plongée des doigts. Il ressent fort son plaisir discret. Le partage, bande et elle sait qu'il l'attraperait après.
    Sa bouche, Ses seins, Ses fesses l'exitent au plus au point, mais plus encore ; il visite sa petite chatte et ce voyage les emmènent dans une extase. Petits cris, tes tensions qu'il ressent dans tout ton corps, ses tremblements, ses sueurs, cela le mene à la rejoindre en cet éblouissant rivage.
    leurs reins, ne font qu'un, reins s'épousant et valsant de concert… son con serre et l'etreint. il la tourne, la retourne. A fleur de peau, leurs caresses se retournent contre eux, croyant exiter l'autre, ils se chauffent et il résiste tant que se peux à l'imperial désir de jouir tout de suite, voulant faire prolonger cet instant d'avant la petite mort.
    Leur corps semble s'affranchir de la pesanteur, leurs peaux baignée de sueur glisse, de petits clapotis, de petits bruits incongrus naissent d'entre leurs ventres. Ces deux corps s'agitent dans une danse désordonnée, d'une urgente course, ce n'est pas une bataille mais cela y ressemblerait s'ils ne naissaient des sourires et des soupirs de leurs lèvres jointes. Ils s'accrochent, se griffent, se caressent. le penis, coulisse, sort, rentre, parfois il s'égare au dehors, émerge gland dehors luisant, comme pour respirer. il entre a nouveau, son rythme s'accélere, décrois, son ventre à elle, est aussi affamée que le sien, mais elle le mange, le devore, tente de l'empêcher de sortir de nouveau, son ventre à elle veut son sperme et elle fait tout pour qu'il cède, lorsqu'elle pense qu'il va dégorger sa sève, alors, il ralentit son allure, de petits mouvement immobiles, mais profonds, résolus… il ne recule plus mais semble s'enfoncer encore plus loin… et là elle cède, elle recède de nouveau lorsque ce pénis devient un petit ver rapide, un python royal, une anguille qui l'électrise. Elle a la chair de poule, des frissons et plus encore. Lui, son dos, est luisant de sueur, de petites goutelettres coulent le long de la colonne vertébrale, il a aussi des petits frissons… Il accélere, il se sent éclater, son gland est le centre de l'univers. sa sève monte… elle est semble concentrée en ce lieu, il voudrait jouir tout à la fois, dans sa bouche, couler dans sa gorge, sur ses seins, dans son anus, étaler son sperme sur ce beau corps qui lui fait fête, il voudrait qu'elle le caresse, son gland enveloppé par ses cheveux, jouir dans ses bas, entre le nylon et la peau… par dessus tout il voudrait l'entendre crier, gémir - ce qu'elle fait - il lui semble que son plaisir à elle le guide dans le sien. leurs ventre explose, supernova, leur ventre illumine le jour, la nuit, il n'a plus de souflle pour penser, le long de sa colonne vertébrale, un petit courant électrique… il s'enfonce, et l'univers implose, son gland devient mer, tempête, incontrolable volcan aussi… le long de son pénis coule la vie, son regard se trouble, sa pensée s'illumine. Elle est si belle, si… son ventre si chaud et lui si liquide, qui fond et explose en même temps, cette chaleur au bout de son pénis qui remonte tout le long de son corps, cette petite chatte si belle, si bonne avec son gland, qui l'étreint, l'acceuille et le dévore et lui qui disparait en ce corps, contre ses seins, dans sa bouche, les étoiles luisent longtemps, ils jouissent ensemble, leur deux corps se dévorent, et le silence soudain prolonge leurs soupirs.

  • Après

     

    Sur un lit de satin noir             sperme coule, éclabousse

    une araignée, nue                   s'étale sur la nuit satinée .

    et désirable                            Flaque d'or pale

    écartelée, pénétrée.                rivieres opales             

    Ses longs bras,                      nombril petit lac de lait 

    ses longues jambes                deux corps tiedes           

    ses seins pointés                    assoupis.

     

    déjà de fins filaments s'étirent, sèchent, et craquellent

    des extases rêvées, des sommeils d'après

    chauds et profonds comme un songe d'opium.

    déjà des parfums, des muscs, des sueurs sucrées

    baignent les draps et les corps endormis.

    Une parenthèse dans une lutte accord, 

    des envies renaissent et demeurent

    des désirs de nudité, de peaux, de l'autre

    des corps affamés, devenir l'autre…

    s'y perdre, s'oublier.

  • Vaincre le soleil

    Tu peux sentir le souffle de la liberté
    par le vent, les fleurs, les parfums portés
    visitent tes os, ta chair.
    Ce "rien" précieux qui, chaque jour
    chaque fois que tu vaincs le soleil
    rempli ton cœur chauffé de gratitude,
    souffle entre le souffre et la neige.

    je veux refaire l'amour, me bruler à l'astre solaire.
    me livrer ensuite au vent et à la pluie.
    Invitez-moi au creux de vos reins
    acceuillez-moi en votre sein.
    A vous de m'ouvrir votre sérail

    Tes bras ouverts, accueillants
    parlent au monde entier
    de générosité et de lutte.
    Tu peux parler des heures de ces révoltes
    fécondes, de ces colères sans haines…
    Tu peux adorer toute ta vie
    ces pensées sauvages, fécondes ;
    tu peux vouloir vraincre le soleil…
    Chaque génération reprendra le combat
    là où les anciens l'ont laissé…

    Ne jamais dire "je t'aime"
    de peur de ne plus le penser un jour
    de peur de le dire trop souvent ou rarement,
    que toujours ne deviennent jamais.
    je souhaite que mes mains et mes baisers te parlent
    de ce que je ne connais pas encore de toi…
    L'absence de tes baisers me parle de toi.

    Agrandir le monde. transmettre sa rage de vivre
    contaminer le réel, l'infiltrer de rêves
    inséminer…
    Cours t'éblouir de ces ciels lumineux
    de ces ciels marins, et de ces levers de soleils
    sur un monde neuf… ces libres soleils.

    je me souviens alors de sa peau de pluie.

  • Sourire

    De son sourire s'échappe
    des ciels bleus printemps
    des champs d'orge,
    de blés d'or…

    je voyage des nuits entières
    sur tes grains de beauté
    sur ta peau blanche
    et tes seins d'argent

    De son sourire coule
    une eau limpide,
    claire et fraîche

    je voyage et me prélasse
    sur tes courbes inlassablement
    j'embrasse ton ventre

    De son sourire
    le bruissement d'un vent
    d'été rafraichissant.

    je voyage et ton corps m'acceuille
    et sa houle me berce et m'enivre
    ta peau chante et me hante.

    Ses yeux sucre d'orge
    pointés sur le vert
    de mes yeux, je fond.

    je voyage en toi ;
    tes soupirs, tes cris,
    ton souffle touche le ciel

    Sa bouche sucre d'astre
    brille d'un ensoleillé
    sourire friandise ;
    bouche candy, lèvres fruitées

    nos extases, nos étreintes
    nos baisers, nos rires
    ton sourire…

    sourire aux senteurs de lilas
    et de fleurs de pommiers.
    De son sourire s'échappe
    des ciels bleus printemps
    des champs d'orge.

  • Montées de sève

    Irradier
    A bout de bras
    porter la lanterne.
    Allumer les torches
    porter la lumière.
    Contrer l'ombre
    et la peur.

    En promenade, ta courte jupe, rien dessous, je trousse. Ma main libre visite petit paradis. Un café, t'y caresse et mes doigts trouvent le chemin de ton bonheur… Un magasin, impatience d'une cabine d'essayage, nos reins en feu impatience de jouir de l'autre. Urgence de nos baisers. tu serre bien la base de ma tige, tes doigts coulissent ma peau et les miens cheminent en toi, ta langue deviens plus dure plus leste. tu me fait jouir, et ta main prisonniere de mon pantalon, lait tiède coule sur tes doigts, ton clito roule…


    Illuminer
    nos jours, nos nuits.
    Rayonner
    renaître, lutter.

    se caresser dans un lieu public, ma main mouillée par ton plaisir et savourer ton extase et t'embrasser… oublier le monde autour de nous et désirer que tu me masturbe et me suce.

    Ranimer les lumières
    être désintéressé,
    fraternel, sincère,
    généreux…

    Langues melées de salive, dansantes, bouches chaudes et douces, caresse tes seins, et chuchottis à l'oreille, ta main posée sur la bosse de mon jean. Bande en t'embrassant, tes doigts masqués par la table s'infiltrent par ma braguette et tes doigts caressant mon gland humide et gonflé de désir, et de l'autre tu caresse ton clitoris, égoïsme… la table, mon corps fait écran au regard des autres, ta bouche me donne le diapason de ton plaisir, mon gland gonflé et tendu, tu le caresse comme ton clito, au même rythme, et je suis heureux de sentir que tu t'envole et je jailli entre tes doigts


    se raccrocher au soleil
    s'offrir des jours sucre candi
    et retomber amoureux,
    ne plus regarder en arriere
    arrivera…

    Caresser tes seins, t'embrasser, plaqué contre ton dos, doigts entre tes cuisses posés sur clito, bande fort, envi de s'enfoncer en toi, le glisse entre tes fesses, lentement, s'enfoncer et ressentir les vibrations qui t'exaltent, Baisers chauds et gourmands. En toi, ton anus me brûle et me ravi, lentement vais et viens, Toys caresse. T'agrippe et glisse sur ton ventre, ma main se pose sur la tienne et nos doigts s'emmelent. Sent glisser Toys. Nos langues s'enroulent. Accompagner Ton plaisir. Se couler en tes fesses, couler, contractions d'anus.

    des jours ensoleillés
    des jours de fièvres
    des après midi, des petits matins
    Irradier

    un baiser braise et cendre, une caresse de glace sur ton astre, la somme de nos désirs s'additionne… se mutiplie comme un ciel et les galaxies, entre tes seins, ma voie lactée, par jets et par pluies. une caresse de feu sur ton astre.

    de la vie.