Elle n'avait plus de nom, ou trop… Elle etait brune, rousse, blonde, Elle était toutes les femmes avec qui il avait fait l'amour, qui avaient bien voulu coucher avec lui, dont il avait rêvé, Elle etait l'Unique… le reflet de son désir, la réponse à ses obsessions…
Son pénis tendu réclamait satisfaction, il était Exigeance, et réclamait son dû… il voulait tout de suite jouir. Il voulait finir sa course du fond de ce ventre délicieux et acceuillant, et exploser tout de suite, rien d'autre ne comptait. Il voulait être mangé par ce sexe chaud et crémeux qui l'enveloppait, il voulait se dissoudre en mille goutelettes lumineuses. Ce sexe qui répondait à ses allées et venues.
Humide de sa salive son gland chatouillait son petit clitoris. Le sentir tout dur l'enchantait. son gland lissait et se frottait contre lui. Il brûlait d'envie de couler sur lui tout le sperme qu'il pouvais déverser, l'entendre chanter à son oreille, la pénétrer au plus vite, perdre conscience et laisser aller son corps fiévreux contre sa peau si douce.
Ses mains caressent, soupèsent les seins de son amante. ses reins s'emballent, en cheval fou, plus profond, il cherche à venir, à cogner contre les parois bouillante de son utérus. Son pénis, virevolte, dérape, plonge en cette grotte enchantée.
Il s'arrête, comptemple les yeux mi-clos, les lèvres frémissantes, les apétissantes courbes, les clavicules, les pointes des seins. Il songe : "je veux te baiser, te baiser, te baiser, je veux t'enfourcher, t'enculer, t'enlacer, sans te connaître, te reconnaître, sans te devoir amour, sans te devoir tendresse. Ne me demande pas d'être raisonnable, j'ai faim, j'ai envie des ces envies, que rien ne peux freiner", frénésie, désir de chair, jouir, encore et encore…
Se cognent leur bouches, leurs langues se cherchent, lappent, il bois salive, il lèche ses dents, ses levres. Elle l'attire,sa bouche ventouse, sa langue limace l'électrise. Il persiste a la culbuter, Ses reins se retiennent mais l'envie d'exploser est forte. Leurs pubis frottent, se chauffent. Il ferme les yeux, des images s'incrustent derriere les paupieres. Il l'imagine vêtue de bas, le haut des cuisses nues. Une seconde peau caressée lentement. un fin voile embellissant et soulignant les jambes… magnifique! Prenant son temps… Mains ascensionnelles. Palpent… Mains douces et chaudes posées nonchalement sur ta touffe de poils chaude et humide… Doigts qui visitent, hésitent et plongent…
Il n'est plus là, dans ce lit, Ils sont dans le metro, dans un magasin, dans la rue. Il imagine…
Il rouvre les yeux, Elle empalée sur Lui, tes reins qui s'agitent, rapides, Il se tends, s'arc-boute pour être encore plus profondément ancré à elle, il bande dur, et c'est presqu'agréablement douloureux. Il attrape ses seins, ses tetins, les happe de sa bouche.
Elle ressent la caresse à ventre, lui tortille ses poils qu'il aime. Son clito frotter contre son bassin. Il aimerai qu'elle lui prenne les bourses, mais la position est malaisée… Il veux l'entendre crier, haleter, soupirer… Il s'agite pour extirper à ce corps des soupirs et des chants…
De nouveau il ferme les yeux, imagine qu'elle se caresse, qu'elle lui offre ce spectacle dans un métro, discrètement, lui moi seul sait ce qu'elle fait… sous son manteau ses mains caressent… plongée des doigts. Il ressent fort son plaisir discret. Le partage, bande et elle sait qu'il l'attraperait après.
Sa bouche, Ses seins, Ses fesses l'exitent au plus au point, mais plus encore ; il visite sa petite chatte et ce voyage les emmènent dans une extase. Petits cris, tes tensions qu'il ressent dans tout ton corps, ses tremblements, ses sueurs, cela le mene à la rejoindre en cet éblouissant rivage.
leurs reins, ne font qu'un, reins s'épousant et valsant de concert… son con serre et l'etreint. il la tourne, la retourne. A fleur de peau, leurs caresses se retournent contre eux, croyant exiter l'autre, ils se chauffent et il résiste tant que se peux à l'imperial désir de jouir tout de suite, voulant faire prolonger cet instant d'avant la petite mort.
Leur corps semble s'affranchir de la pesanteur, leurs peaux baignée de sueur glisse, de petits clapotis, de petits bruits incongrus naissent d'entre leurs ventres. Ces deux corps s'agitent dans une danse désordonnée, d'une urgente course, ce n'est pas une bataille mais cela y ressemblerait s'ils ne naissaient des sourires et des soupirs de leurs lèvres jointes. Ils s'accrochent, se griffent, se caressent. le penis, coulisse, sort, rentre, parfois il s'égare au dehors, émerge gland dehors luisant, comme pour respirer. il entre a nouveau, son rythme s'accélere, décrois, son ventre à elle, est aussi affamée que le sien, mais elle le mange, le devore, tente de l'empêcher de sortir de nouveau, son ventre à elle veut son sperme et elle fait tout pour qu'il cède, lorsqu'elle pense qu'il va dégorger sa sève, alors, il ralentit son allure, de petits mouvement immobiles, mais profonds, résolus… il ne recule plus mais semble s'enfoncer encore plus loin… et là elle cède, elle recède de nouveau lorsque ce pénis devient un petit ver rapide, un python royal, une anguille qui l'électrise. Elle a la chair de poule, des frissons et plus encore. Lui, son dos, est luisant de sueur, de petites goutelettres coulent le long de la colonne vertébrale, il a aussi des petits frissons… Il accélere, il se sent éclater, son gland est le centre de l'univers. sa sève monte… elle est semble concentrée en ce lieu, il voudrait jouir tout à la fois, dans sa bouche, couler dans sa gorge, sur ses seins, dans son anus, étaler son sperme sur ce beau corps qui lui fait fête, il voudrait qu'elle le caresse, son gland enveloppé par ses cheveux, jouir dans ses bas, entre le nylon et la peau… par dessus tout il voudrait l'entendre crier, gémir - ce qu'elle fait - il lui semble que son plaisir à elle le guide dans le sien. leurs ventre explose, supernova, leur ventre illumine le jour, la nuit, il n'a plus de souflle pour penser, le long de sa colonne vertébrale, un petit courant électrique… il s'enfonce, et l'univers implose, son gland devient mer, tempête, incontrolable volcan aussi… le long de son pénis coule la vie, son regard se trouble, sa pensée s'illumine. Elle est si belle, si… son ventre si chaud et lui si liquide, qui fond et explose en même temps, cette chaleur au bout de son pénis qui remonte tout le long de son corps, cette petite chatte si belle, si bonne avec son gland, qui l'étreint, l'acceuille et le dévore et lui qui disparait en ce corps, contre ses seins, dans sa bouche, les étoiles luisent longtemps, ils jouissent ensemble, leur deux corps se dévorent, et le silence soudain prolonge leurs soupirs.