la nuit enveloppe tes baisers
d'un fil ténu d'or, enchantée,
ma langue décore ton cœur
de sa salive ton corps délivré,
tes reins à ma bouche s'ouvrent.
je bois l'ombre, je bois
une croupe cristalline.
La nuit… ton corps luit
reflets d'argent salive.
la chaleur de ta bouche
brûle ma peau, incendie
ce cierge qui veux,exige.
Verge, que le fruit
de tes entrailles béni
voyage en toi, plus loin
tu m'enveloppe autant
que je me developpe
et que mes bras t'étreignent
et que mes baisers t'embrasent.
Ta peau couverte
de sueur et de sperme
s'offre à ma nuit moiteur,
tes jambes ouvertes
s'offrent à l'envi
ton âme à la vie.
sexe - Page 2
-
A la vie
-
Valse au clair de lune
A ses deux seins dire bonjour,
ces deux petits niquer,
se faire et refaire ses tétins
y passer et repasser
toute langue pendue
pile ou face, la retourner
recto-verso rendre hommage
à son corps défendant,
gamahucher, la hisser haut,
la laisser sans défense.
à l'assaut par des baisers
s'en prendre à sa bouche,
galocher à tout va
sa bobine, l'émoustiller,
dans ce tendre temps
son velours louvoyer
caresser sans cesse.
choyer sa bouche
valse au clair de lune,
sa vénérée vulve
vouée à mes baisers. -
jeux de bouches
le premier qui jouit à perdu
elle n'a pas dit quoi…
alors j'ai perdu la tête
durant ce tête-bêche
de dur à mou
elle a fait mouche,
dans sa bouche
j'ai fait douche…
à touche-minouche
on jouait la nuit…
toujours je perdais…
aux jeux, j'aime perdre. -
après la secousse (a capella)
lache l'bazar
jle remet dans l'falzar
j'tai trop troussée la rousse,
moi, après la secousse
j'boirai bien une mousse…
lache l'bazar
jle remet dans l'falzar
cte bringu'zingue,
qu'tu m'à dézingué
j'boirai bien une mousse…
lache le bazar
jle remet dans l'falzar
sinon j'rebande dare-dare,
qu'mon dard qu'jembrousse
ta frimousse.
lache l'bazar
jle remet dans l'falzar
qu'on s'embrasse, ça fait tâche
l'mat tout défait, ou j'me fâche
lache l'bazar
jle remet dans l'falzar
j'tai trop troussée la rousse,
moi, après la secousse
j'boirai bien une mousse… -
Sous ta jupe
Le printemps entre par les fibres
de ma peau, par les pores,
je le ressent dans mes entrailles.
Qui danse et qui roule
dans ma chair, ces jours
lumineux de montée de sève.
Les petites robes légères
éclosent, s'envolent.
Frimousses pétales et pistils
sourires et clins d'œil…
La si légère petite robe
ta peau nue frémissante
sans dessous, visée
sur ta broussaille, tes seins
qui percent la transparence
ravissement et désir.
Le soleil nous chauffe
je caresse tes jambes blanches
attiré, attisé, sous la robe légère,
le printemps entre par les fibres.
Le bourgeon, roi de ta forêt,
croît sous le doigt, posé,
encré à l'antre du délice.
Digitale ligne de vie,
lisse le roi bourgeon,
le dresse, l'écosse
sous la caresse, sur le delice
index délicatesse.
Le roi bourgeon, frais
et parfumé donne à visite
de bonne bouche
à droit de vit, site vermeil
merveille corolles et
merveille ce bouton :
de la croupe aux lèvres
il n'y a qu'un pas…
Sous le chintz gazeux
robe légère chantent
mes doigts, s'envolent
mes baisers, ma tête
échevellée, coincée
entre tes cuisses.
Ma langue déployée
disparait dans la brousse. -
ciné X
Au cinéma de mes nuits
elles le peuplent et sont à moi
au théatre de mes nuits
coule sperme et cyprine
dans les bouches assoiffées
surchauffe de corps
cœurs en surchauffe;
mes mots, les bleus de chauffe
glissent sur leurs lèvres
et ma pine glorieuse s'élève.
Au cinéma de mes nuits
je suis toujours disponible
pour un baiser et une caresse
au théatre de mes nuits
je me laisse attraper
mais, à la premiere robe qui passe
à la dérobée, je prends la fille
de l'air, et pffft je la souffle. -
cru ôté
Il me manque la cruauté
morsures et blessures…
Au bout de mes poings
des mots que je tais.
Des griffes pour déchirer ton corsage.
avec mes dents, avec mes ongles
te dénuder, te dévorer.
Il me manque la cruauté,
celle qui se mèle aux caresses.
Il me manque la rage
lorsque tu me manquais,
et, qu'il me manquais
des griffes pour déchirer
ton corps sage. -
Bang!
j'étais invité à une soirée… je ne savais pas où j'allais, ni chez qui…
Plutôt par curiosité et désœuvrement… j'y allais "pour voir"…
C'était une soirée douce d'été… et j'étais content de sortir un peu…
J'arrive… bizarre ambiance… que des mecs… des zarbi, des biens, des craignos… de tout… l'apparte est rempli de saladiers pleins de préservatifs, une forte odeur de sperme… je suis tombé dans une fête homo ?
Nan nan… on attends quelques demoiselle… j'apprend qu'en fait je suis tombé dans un gang bang… Et tous ces mecs pour satisfaire ces dames… je me demande ce que je fais là… la plupart de ces dames ne pourront pas venir… je fini par me dire que je n'avais rien a faire ici… je reprend mes cliques et mes claques et je descends l'escalier… à ce moment une dame plutôt jolie monte, je la croise, elle me sourit, à l'étage une bonne vingtaine de mecs l'attendent, la bite sous le bras… Elle va en avoir du travail !!!!
je repars songeur, et finalement pas mécontent de rentrer. -
1985
A l'arriere des taxis, elle prenait ma main,
dans la pénombre percée par les lumières
des néons et par les feux tricolores,
et sous sa jupe me montrait le chemin.
Dans ma tête virée de bord, résonnait
d'Electric Callas, de marie et les garçons,
les accords et les fuzz désacordées
les larsens et la noirceur électrique.
Perçant la trame de ses collants, frayant
sa minuscule culotte, je l'embrassait
tandis que mes doigts s'envolaient,
pianotaient maladroitement en elle.
A l'arriere des taxis, elle prenait ma main,
et sous sa jupe me montrait le chemin.
Sa main indiscrète infiltrait la braguette
ou par la ceinture de mon jean, sans gêne
elle caressait mon gland, et je l'embrassais.
ma tête chavirée, virée de bord,
le ciel de paris tournait, comme mon doigt.
A l'arriere des taxis, elle prenait ma main,
et sous sa jupe me montrait le chemin. -
le front de libération des étoiles
le front de libération des étoiles
ne t'a pas décroché la lune
il la préfère dans son écrin de soie noire
le front de libération des étoiles
ne t'a pas décroché la lune
à son patere, il a accroché
des baisers et des caresses délices
ainsi quand tu lève ta caboche
sur tes yeux descend des cieux,
des baisers délices et des caresses. -
sujet de délicieuse rêverie…
nous sommes dans le métro… je suis quelques sièges plus loin… tu caches ta main sous ton manteau et me regardant, me fixant de tes yeux magnifiques, tu te caresses… discretement… moi seul le sait, moi seul le devine… tu retiens tes soupirs, et tes yeux s'illuminent, je devine ton plaisir qui nait sous tes doigts… je suis avec toi de mon regard… je t'accompagne… lorsque ton plaisir vient, tu me rejoint et nous descendons du wagon… et nous nous embrassons.
-
Geyser
L'anneau de l'index et du pouce
monte doux ascenseur...
Descend belle caresse.
Les doigts d'ivresse
montent aux étoiles.
Les yeux clos, feux d'artifices
comme une lame de couteau.
De la main filante, aimante
qui délivre le raz-de-marée,
le gazeux geyser monte.
En un tour de main,
palpe de la paume,
gonfle le manteau de peau
coulisse et malaxe l'axe,
l'ajuste à ton geste.
Ta frimousse de cristal
parée de diamants
de spermes frais
d'éclats de crèmes opales,
Recueille la première larme
de sa housse de tendre chair.
L'anneau de l'index et du pouce
monte doux doigts divins...
Descend belle caresse,
vive et brûlante comme un incendie.
De lave et de feu monte,
coulisse ta prisonnière
de ta bouche, qui délivre
le raz-de-marée,
le gazeux geyser
gonfle l'écrin, tes doigts
ne me laissent répits
plus rapides, plus forts.
Ta bouche plus douce
s'impose et me soumet.
J'explose, j'implose,
j'étincelle des gouttes
d'or, d'argent, de nacre
qui ornent tes lèvres
bouillantes et magnifiques
et courent tels des lévriers
orner tes seins, paillettes
coulées le long de la clavicule,
Doigts humides de mon extase.
L'anneau de l'index et du pouce
dessert doux ascenseur...
Délivre belle caresse.
Les doigts d'ivresse
montent aux étoiles.
Les yeux clos, feux d'artifices
comme une lame de couteau. -
Paradis
Dans tes bras j'étais au paradis
et ne savais pas que ce serais aussi l'enfer
ce jour ou nous ne serions plus nous.
Chacun de notre côté, dans d'autres bras
purgatoires, ivres et libres, délivrés de nous.
Dans tes bras j'étais au paradis
et toi tu as choisie l'enfer, j'ai choisi la vie
pour survivre sans toi, j'ai oublié d'aimer.
Chacun de notre côté, dans d'autres bras
de passage sur d'autres rivages, d'autres lits…
J'ai choisi la vie, et de bras en bras j'oubliai
que dans les tiens, c'était le paradis
et je ne savais pas que tu choisirais l'enfer
alors que dans mes bras tu étais au paradis. -
Fruits défendus
je te lèche la pomme
en caressant tes jolies poires.
Cueillons les fruits de l'amour !
je me frotte à ton abricot
fondant et succulent tel une mangue.
tu agrippe mes noix.
Ma banane bien mûre se dresse,
juteuse de nectar, lait de coco.
Cueillons les fruits de l'amour !
Ta petite fraise sucrée, sensible
à mes assauts, à l'orée du verger
où je cueille les fruits défendus du pêcher
à un parfum de fruits de la passion. -
Bouche-que-veux-tu
Danse langue,
bande ferme…
ta fente pleure
parfois de joie.
Jute sur ton sein
jolie crême,
dessert, reflets d'opale.
Gouttes de salive
sur la forêt de vénus.
Bouche-que-veux-tu
joue au chat et la souris.
lèvres qui lèvent verge
dressée et obéissante,
bon élève, gland garçon
à l'exite clitoris visite
la broussaille paradisiaque,
où mon vit vise, va et vient,
le délicieux chemin de ta chatte. -
crême
je touille to you, coule
deux doigts dans la crême
m'en pourlèche les babines
barbouillées, to you touille.
Papouilles à la touillette.
Lechouilles happés to you
deux doigts dans la crême.
Ma langue lisse to you,
en ta bonne bouche,
ma crême to you cool. -
fruitée
me voilà ou qu't'est,
entre deux pêches
bien rondes et pulpeuses.
Ma noix, voie lactée, dégorge
cascade son lait de coco.
Mon litchi, dans ta figue,
ruisselle de tout son jus
j'embrasse ta pomme
j'embrasse ta bouche fruitée. -
Faim de Loup
Je reste sur ma faim de Loup.
je reste sur ma faim… fin gourmet,
affamé ! et lorsque je pense être repu,
il me vient des envies, des désirs…
Je reste affamé de baisers, je reste insassiable…
je deviens un ogre, je devient un croque-mitaine.
La lenteur me manque… La douceur me manque
s'abandonner au temps d'aimer
aux mains d'une autre, se livrer ,
sans poser la limites du jamais ou du toujours.
Cents frontières, déployer ma ligne d'horizon
louvoyer comme un voyou, sans foi, ni loi.
Je reste sur ma faim de vous. -
Nous
Elle m'offre à toi, m'offre les baisers
qu'elle te donne, m'offre tes orgasmes
et la douceur de vos peaux…
Elle offre à mes ivresses, vos jeux, vos élans,
nos corps qui se mêlent et nos langues déliés.
A elle, tu m'offres, tu me prêtes et vos bouches
amies délivrent à mon pénis leur libre plaisir.
Nous ne sommes qu'affamés de chairs.
Nous ne sommes qu'affamés de plaisirs.
Nous ne sommes qu'affamés de caresses.
je suis elle, tu est moi, et elle est nous. -
Sauvage comme moi
Apprends-moi, apprivoise-moi
Moi qui ai pris ce cœur,
moi qui défends le mien
de tous liens… En dépit
de cela, apprivoise-moi.
Donnes au sauvage
ces baisers d'acier et de vent.
Donne au sauvage
ces caresses et laisse cage ouverte…
Brisées les chaînes, libère le sauvage
qui est en toi, apprends lui les nuages
apprends lui les étoiles,
apprends lui la chair
sans les chaînes. -
Or gammes
Lorsqu'elle m'aime ; merveille!
va nue, nus pieds, cela va tous les matins
au monde, rien ne m'émerveille autant.
Elle avale mon élevée, je rêvasse,
je m'éveille à ses jeux de bouche, verge dédiée.
Des vagues de plaisirs, eve, lilith, divague, geint
de par son chaud vagin, je me vie d'elle,
divagues tièdes crèmes , se perd me, je, nous. -
scintillement
tes yeux scintillent lorsqu'on s'embrasse,
et aussi, mon âme scintille de tes feux, de ton éclat
nos langues se lèchent, et se pourlèchent…
deux petits serpents roses, qui s'entortillent
deux petites langues humides et chaudes.
mes yeux scintillent lorsque tu m'embrasses
et aussi, mon âme scintille de tes jeux, de ton éclat
nos corps se lèchent, et s'emmellent…
mon serpent rose, humide de toi, chaud de toi
qui se tortille et glisse dans ta bouche affamée
mes yeux scintillent quand tu l'embrase.
envieux de ton corps, envieux de ton désir,
moi, affamé de la femme que tu est. -
velouté
je ne lui dis rien, je rêve seulement
de ses yeux clairs et lumineux,
porté par son regard acérés
je voyage sur le velouté de sa peau.
Autour d'elle, comme le vent,
qui secoue les branches des arbres
comme des elfes allumant feux follets,
des herbes folles, couchés par un souffle.
A son insu, je suis emporté… bringueballé
sans ménagement, bousculé
par la tendresse de son visage.
Mes yeux ne voient que sa bouche.
magnétique, qui m'aimante et m'attise
je ne lui demande rien, ce rêve seul
du gout de ses baisers, d'une étreinte,
et de sa langue de soie chaude
rêvasser de m'y prélasser. -
I want candy
Sortir ton carnet de poésie,
l'offrir aux vents, l'offrir à la pluie et au soleil
écrire des mots pour chasser le noir.
Pour faire la traque au désespoir
sortir ton carnet de poésie,
l'orner de mots de pois de senteur, de lys.
Calligraphier les prairies, les montagnes
les océans, et le monde avant l'homme…
Sortir ton carnet de poésie
et se souvenir que la vie peut être
friandise et sucre candy. -
nos miels
ses levres s'entrouvent, elle d'or,
un filet de salive perlé
ou un reflet de lune brille à sa bouche…
son souffle nuage le silence dans la nuit…
ses yeux clos étincellent la pénombre.
Son corps incendiaire sur le plaid rivage,
elle d'or… silhouette, ombre impériale
à moi, ses doux rêves sans complexes,
où convergent nos élans, nos corps à corps.
Moi veut de son con fusion, désire con prise
l'éveiller, lui offrir voyage éventail,
ma bouche à son con plisse, au fond de ses replis
ma salive emmiellée de sa crême savoureuse
elle, élancée, alanguie, s'abandonne, son silence
supplie d'aller plus loin, plus profond, plus fort
la prendre sur la grêve, sans trêve, s'assembler
mécano nos corps, arpège d'accord majeur
index s'amuse de la fièvre de ta fève.
à vif, vitale, l'envie de mon vit t'enveloppe,
pleine de ma sève, m'invite au sérail.
Nos reins se creusent, ondulent, dansent.
nos dents, ta langue, nos lèvres se livrent
con bat contre ma vie, fixe sexe à sexe
flexible au garde à vous, il luit de tendresse
s'étend dard, s'étale ta peau sous le vent.
prise par les hanches, par les épaules,
je te retourne, t'enfourne, t'enfourche.
Fesses festives Fête de sens. essence.
Naufrage mon âme, nous nous perdons.
Bout seule d'érectionnel, tête-bêche nord ou sud
le ciel de lit, toi, pôle air. ciel de nuit de taie.
je tête sein, je croque fesses, je mordille
bouche et épaules, froisse cheveux
déchire linge et draps…
je te veut encore plus nue, je te veut.
Quand se mele l'ange de langue
chavire et salive, souffle coupé et court
mélopée de tes soupirs, chant de reine.
sous le vent, au lit, le miel se mêle le lait. -
amusement…
trouvé chez khate : http://le-saule-pleureur-2.blogspot.com/
Né le 25 août, mon arbre semble etre le pin
voici ce que cela dit… quelques trucs vrai, mais pas totalement…
Pin : Un protégé du pin est un cas "particulier" !
....... Il adore être entouré de personnes agréables . Il est robuste . Il sait se faire une vie confortable . Bon compagnon naturel pas vraiment agréable , il est naturel . il devient facilement amoureux mais la passion s'éteint rapidement . Tout tourne à la déception , sauf s'il rencontre son idéal et pourtant il est digne de confiance .
Et pour continuer à s'amuser, le test de "pureté"
http://www.griffor.com
je ne sait pas comment c'est calculé, mais voici mes résultats
Score : 164
Pourcentage de réponses positives : 43 %
Réponses positives sur les boissons: 16 %
Réponses positives sur les drogues : 41 %
Réponses positives sur le sexe : 55 %
Commentaires : La vie n'est qu'un vaste terrain de jeu pour vous !
Votre passé a été plein de surprises et je pense que ce n'est pas fini, loin de là !
Ben j'espère bien!!!! -
ce qui ne sort pas de ma bouche…
Ses lèvres sont de l'eau à ma bouche asséchée
mais c'est elle qui s'y désaltère.
Ses caresses, sont le ciel et les étoiles
et elle devrait s'y envoler
haut, tres haut, parmi les oiseaux.
Et, mes baisers pansent ses plaies
Et, mes caresses ont besoin d'ailes
pour la soutenir sans mes mots. -
fruit sauvage 2
me frottant à ta peau, je m'ennivre son odeur douce et ma salive illumine ta rose raie
ma langue voyage et navique en des embruns salins, satine et maline
et ceuille des bouquets et des saveurs pêche, abricots et figues
je rejoint ta moiteur tropicale, douce cascade d'orgeat et d'argent
je me coule en toi et je reçoit tes baisers emielés et ton etreinte m'éreinte…
tes reins se creusent, ondulent au gré de mes vagues
je veut fondre me delayer et en toi me noyer
je veut tes seins, je veut tes reins et le satin de ta bouche
tes doigts sur mon penis, ta langue qui le salive
tandis que ma tete part aux étoiles te ceuillir un bouquet de stelles
ma bouche sur la tienne
suce langue et boit salive
soif de toi
j'ai l'eau a la bouche de toi
mes doigts sur toi parfois ondoient
jouent des notes, des do, des mi,
ma muse s'amuse et j'en use
j'ose avec elle etendre mes ailes
et m'etendre aupres d'elle
à la délicieuse… -
Paris des amants
lis ce message, d’ange heureux,
Paris en automne, n’est pas monotone
et si tonne les rouges des feuilles tombantes,
mouvent émouvantes les errantes âmes aimantes…
Paris sur scène, dans des bouges, jamais taris,
sur les quais de seine, lisses, et atones,
d’aventureux amours se lient et se délient…
en ces rues citadines, nectarines bouches
se mentent, s’aimantent, en se cimentant
d’avenir et de passés composés…
mais trop polis, teint de bitume sans amertume
a brune brume de paris, sous une bruine
céleste, déserte de passants, sans interdits
Paris d’automne venant, jette ses feuilles rousses,
se prélasse la seine ; laissant des amants dans son lit,
désarmant leurs charmantes secousses sismiques.
Ta nuque jalouse ton sourire moqueur,
des mains sans lendemains
agrippent mon corps et griffent mon cœur,
tes lèvres délivrent ma fièvre de cristal.
Des cris s’installent, métal langue en splendeur à fleur
deux lèvres, pétales de santal langue sur la mienne.
Pendant que tangue eaux de seine, chaloupent en couples
loups et louves le long du Louvre.
(un ancien poeme retrouvé…)