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cru ôté

Il me manque la cruauté
morsures et blessures…
Au bout de mes poings
des mots que je tais.
Des griffes pour déchirer ton corsage.
avec mes dents, avec mes ongles
te dénuder, te dévorer.
Il me manque la cruauté,
celle qui se mèle aux caresses.
Il me manque la rage
lorsque tu me manquais,
et, qu'il me manquais
des griffes pour déchirer
ton corps sage.

Commentaires

  • Bonjour,
    J'arrive juste .... Oui c'est érotique, élastique... élastomère, eau de javel qui fait mal.
    Bon, je suis sérieuse et je te dis j'adore.

  • La cruauté ne manque à personne...Le monde des artifices en est rempli...Seule la douceur peut prétendre l'équilibrer un peu, et d'elle tu ne manques pas ;-)

  • Mmmm...
    A la fois inquiétant et terriblement excitant tout ceci...

  • Bonjour io,

    Merci de ta présence lumineuse hier au vernissage, ça m'a vraiment fait un plaisir immense. à très bientôt pour de nouvelles aventures...

  • Hummmm encore un que j'aime bien!
    La cruauté... est-ce vraiment ce qu'il manque?
    L'exitation y est en tout cas!

  • Waouh !!!

  • Le corps sage garde le corps au chaud et à l'abri des regards...

  • tres excitant ce poeme!!j'aime!!

  • j'adore ce poème
    jolis jeux de mots !

  • Echange de commentaires et d'univers, le virtuel a parfois du bon! je découvre ton blog et fais une pause dans ma ballade... Extra ce poème!!!!
    Fantasme cruel tellement commun et sensuel... j'adore!

  • Oh! J'aime beaucoup! Quelle énergie! Quel rythme!

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