Sous ses pas dansaient la rue, elle était comme le vent
elle glissait sur les pavé, au loin je la regardais…
son port droit, son magnifique visage, ses fines chevilles
et sa jupe qui flottait au gré de ses pas
sa beauté me coupait le souffle et je rêvais de l'embrasser,
du goût de ses baisers, de son parfum…
A ses pas s'accordaient mon rythme cardiaque
qui au bout de quelques seconde s'emballait et se figeait.
Elle semblable au vent, je gravais dans ma memoire
les boucles de ses cheveux, la dureté de son regard
et la beauté de sa souffrance… je lisas en elle sans la connaitre
sa vie, et je la désirais… je voulais qu'elle soit heureuse
je voulais qu'elle me dise tu, mais la laissait continuer sa route,
belle, trop belle pour moi…
sans qu'elle sâche qu'à chaque fois que je la croisait…
je me disais… demain…
poesie - Page 9
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Le vent
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Embrassez-moi
rien a dire sur le désir qui nous lie
ni sur le tendre et court espace où nos vies
se révèlent une relation privilégiée.
Notre cours de recréation, notre terrain de joie
nous unis et cet intermède ou je suis son ami.
elle est ce si doux leurre et je suis celui
dont le mâle à dit qu'il était un fruit du pêcher
alors je croque son amande
Je n'étais dans sa vie qu'un amour
né trop tard pour se donner, et mener nos vies
à notre guise, en ces interludes ou nous nous ébattons
à travers nos tentations, a chaque fois
je tente de lui donner ce que je ne peut donner
ce que je ne peut lui dire… ce bal mal mené
ou nos corps ont la pudeur de ne dire nos cœurs,
je ne peut que lui offrir liberté et baisers
j'ai cherché une vie, où le mal est absent…
et, ne sait l'essence des sens et ne sait la malice.
je lui dit embrassez-moi, je serait un dieu
je lui dit embrassez-moi, je ne desire rien d'autre
je lui dit que ses lèvres chaude me réchauffent. -
Bouche à bouche
nos lèvres célebrent étoiles et soies
nos langue se livrent à la joie de l'ange
nos bouches délivrent et se cherchent
ta salive me chavire feux follets et lucioles
langues de velours, et langueurs s'ensuivent
t'embrasser, et, de nous faire un brasier -
T'aimes…
s'il y avait une réponse, s'il y avait ces élliptiques questions
cette quête de la fête charnelle, cette quête du bonheur,
cette quête du désir et de l'amour, s'il y avait une réponse
à la tentation de la chair, à la tentation de la chère et tendre
rondeur de son corps, de ses courbes, des ses angles…
s'il y avait amour sans chaînes, ni liens, ni contraintes…
une immense tentation de la douceur, de cette main
qui dessine des lignes de vie sur ce cœur satiné étalé là,
sur ce lit inconnu, ce lit qui dérive au gré de nos soupirs…
résiste à ces caresses, résiste à cette langueur
à ce plaisir qui monte dans ta chair, à ces reins qui se creusent
ne résiste plus, abandonne toi à cet délicieuse explosion
cette bouche tendue vers la tienne qui réclame encore. -
Son corps de diva
sur son corps de diva, je divague et songe a ses rivages rêvés
jetée là sur un lit de passage, du temps jadis, je lui dit mon naufrage,
les ravages qu'elle fait à mon âme et l'étincelle, qu'elle a allumée.
sur son corps de diva, je plane, me pâme, et l'adore.
je la monte en selle, je la navigue, déjà divague, mon bâton livre
à son ventre, mon écume jeté, à sa bouche, le lai de ma saison.
je cherches en elle ma déraison et sans raisons,
offre à sa chatte, ma livrée de baisers chatoyants
à ses fesses, de festes caresses afin de la mettre en liesse
en elle, ancré, humide de son délice, mon pénis glisse et frétille.
nos deux peaux se frottent l'une à l'autre,
nos souffles rapides et chauds, nos bouches enlanguées
tes seins léchés et ceints par les paumes,
tes hanches que j'agrippe, ce joyaux clltoris que je lèche
je veut en ses yeux ces lumieres ou brille l'or de nos games,
les gammes de nos jouissances, l'essence de nos sens
avec elle, joue à joui et à tu, et à vous j'aimerai dire nous
l'instant d'une seconde naissance, à son soupir fondre. -
Incandescence
lorsque je touche sa peau, qu'elle déploie son "elle"
que mon index dévale de ses seins enchantés
par son nombril, vers sa toison d'or
son ventre que je sent humide et tiède,
à mon oreille, chante son plaisir
son souffle trouble trouve le mien
lorsque l'harmonie de nos vices
en elle m'accueille , et se visse
mon vit à sa vie de fée, que je la frôle
au fond de sa forêt brûlée, je me perds.
Sa bouche bouillante, sa langue se faufilant
entre mes lèvres, je vient de l'orée de la broussaille
au crépusculaire volcan de fusion
et je fond en elle au fin fond de ce brasier. -
Entrelacés
nus sans lacets, ni vêts, je baise ton duvet,
doux salin et ne me lasse de tes levres ourlées
d'une leste langue j'explore ta lagune,
et je lappe entre ces levres, délacée de son ecrin
l'opale sacrée de ta chair, esclave de ma bouche…
l'escale de ton cœur, où jamais de toi, rassasié,
enlacé contre ton cœur et tes seins
je fond de délice et je me coule en toi -
Incendie
tout l'été mon corps se jète contre le tien
jeté de lit, taie d'oreiller, draps de satin
toi, comme une île délicieuse, ou je voyage
sur tes seins, sur ton ventre ou je me délecte
de ta vulve blonde et de sa parfumée saveur
je voyage et malgré nos délits, nous sommes
innocents et nos sens sous ces cieux de lits
s'embrasent, et, l'incendie sous nos baisers
consume nos ailes -
Silence des amants
Silence
seulement le son feutré d'une feuille qui tombe
la caresse d'une main sur un dos, sur une jambe
silence
un souffle dans la pénombre d'une chambre
le vent entre les branche
un oiseau au loin
lumière d'été aveuglante
silence troublé par les criquets
le tintement d'un clocher au loin
à travers l'épaisseur de la chaleur
silence
malgré des draps qui se froissent sous deux corps
accords majeurs des souffles chauds
et des reins qui se hâtent, se creusent, s'attirent
silence
parsemé de soupirs d'aimés mêlés
et cette lumière d'été qui survint
dans leur paupières closes d'amants
et le silence retombe… -
Marée montante
flux et reflux de nos corps amarés
folle farandole font et défont nos linges
comme deux idoles déchues, nous chancellons
titubons sous nos baisers, nos caresses
marée montante, étreinte, ivresse,
mêle ange ton paradis à mon démon
croquer ta perle, d'une langue lente
à ta fente, lapper le suc enchanté,
et m'ennivrer de ton cœur chanté -
Baiser
nos lèvres célebrent étoiles et soie
nos langue se livrent à la joie de l'ange
nos bouches se cherchent délices
ta salive me chavire feux follets et lucioles -
Eteins celle…
sous la couverture, à son oreille,
je lui sussure des mots étincelles,
mes mots émerveillent ce cœur de braise
je murmure l'amour, je chuchotte
des pailletes, des poussières
des clairs de terre, des cendres
des ciels de lits, délicieux étés -
Miels
soixante neuf douceurs
nos deux corps humides et tièdes glissent
l'un dans l"autre en un interminable baiser
soixante neufs plaisirs en apnée
frottements des chairs
soeuyx des nectar qui fondaient dans nos bouches
nos lèvres qui se désaltèrent nos yeux qui brillent
nos soufflent qui bercent et nos soupirs qui rythent en canon
goûter ton désir boire ton ivresse que ma langue atteigne ce bouton d"or et déjà savoureux
pointe dressée en une glaveur au gré de mes faveurs
explorer le paysage symphonique de ton corps surfer dans les vagues de ton plaisir rebondir sur tes gemisements
et adorer le cri qui naît dans ta poitrine et caresser mes oreilles
feuillement contre feulement froissement des draps
claquements des peaux douceur des charmes
je te désir
fleur du mal! mon bâton ivre des rimes et sentiments
je me glisserais vers toi te déroberai un baiser
nos langues telephatent et s"allongent dans nos bouches entre ouvertes se déploient se caressent dessus se dérobent dessus tournoient et boivent la saveur de l"autre
je me rapproche de toi
veut me sentir en toi et en moi ce soufflent
impérieux fondre
et se dissoudre en une moniale de douceurs
reprendre sa respiration haleter dans toi accueillant mon être sans réserve et se donner
mes rêves magnétiques
goûter cette bouche la mordiller l'explorer être ta salive ta
soif ton air être ta deuxième peau le temps d"un éblouissement de chair et un feu d"artifices
est ce des coeurs
or gammes ton clavier déchaîner sur lequel je joue des miels au lit secrètes -
L'amie
si je me laissait bercer par ton souffle,
emporter par la lame de fond de mon âme
je pourrait te donner, comme homme naît des anges
mon âme mixe a nu ma vie à l"amour,
et a la douce heure que chantent mes poèmes
mes doigts te caressant et ma langue
ingérence du plaisir de ton plaisir
me glisser au creux de toi,
ne vouloir de toi que le froissement des draps
le velouté brasier de tes baisers
et ne dessiner que ton sourire
être dans tes rêves le temps d"un songe
un zephir t'effleurant et te déflorant
un souffle frais sur ta peau
une caresse apaisante -
Amande
celle qui a trainée son cœur au bout d'une vielle laisse, qui a trainée son corps contre un peu d'amour, et changée son âme à vague sur ma peau…
celle qui a semée ses jupes, foulards, laissée son parfum sur les draps après qu'elle s'en fût…
celle qui frottait son buisson contre mon ardence, son calice de jouvence que je buvait…
celle dont la peau pale s'étale, celle, qui apotheose son si bel apparat velours sombre amande
celle ci, apetissante ombre, rose sillon, celle qui mande la main caressante, par essence. -
Amant de l'ombre
des raies de lumlère zèbrent
à travers les persiennes ta peau
jetée sur le lit de la chambre,
ta raie me souri et l'envie vient.
Me souvient des amantes
persanes et des embrassades
moi, amant de l'ombre de ta touffe -
A toi
Dressé contre toi
orgeuilleux entre tes doigts
érigé en ton sein
fier en ta bouche
fondant sous ta langue
en toi, souveraine
tes levres célèbre
moi, souverain
et ta bouche bouscule
les étoiles tombés du
ciels sous ma paupière
me volent ma langueur
et imperator coule
par bouche et jailli
parmis tes miels
et je te veut
fruit sauvage -
Bleu photons
Correspondance de cœurs qui dansent au gré des bits et des bauds,
fiers amants que celle-ci idéalise, si déraillent mes mots, ceux-ci sont aimants et cristallins feux d'arty, fisse que ces jours de printemps, comme un firmament
petit-cœur, doux sevrage de l'hiver, te porte vers l'été.
ce soir de printemps neuf,
j'adresse ces stances à ton adresse,
sans strass, pour ne pas laisser de traces
de pas dans la glace…
Ensorcelle moi ! Mes bras enlacent des courants d’air de rien à voir,
en brassent des souffles courts et détalent jusqu’à l’amer…
Étreint, déraille, dévale, boursoufle tant de baisers retenus,
tant d’amour gardé par devers soi.
Que l’aimée dont je dévore la vulnérable vulve,
vainement, s’accroche à l’éternité d’oreiller.
Vit, enserre ses jambes autour de mes épaules d’attraction.
Cisèle ma lande alors que je vénère sa figue lisse,
et glisse sur ce jus d’abricot…
je languit, mon vit vie de miel, luit, tendre réglisse,
félice en la raie au milieu, serpente en des écumes brunes
et des bruines mines et râles dorés.
Dors… et naît avant ce vertige,
délice envie d’ivresse de tes caresses ;
dors amants que ce songe ne cesse et que liesse nous délie.
Des lits vermeils, merveilleuses îles aux elles,
où toujours ne cesse jamais.
lis ce message, d’ange heureux,
Paris en automne, n’est pas monotone
et si tonne les rouges des feuilles tombantes,
mouvent émouvantes les errantes âmes aimantes…
Paris sur scène, dans des bouges, jamais taris,
sur les quais de seine, lisses, et atones,
d’aventureux amours se lient et se délient…
en ces rues citadines, nectarines bouches
se mentent, s’aimantent, en se cimentant
d’avenir et de passés composés…
mais trop polis, teint de bitume sans amertume
a brune brume de paris, sous une bruine
céleste, déserte de passants, sans interdits
Paris d’automne venant, jette ses feuilles rousses,
se prélasse la seine ; laissant des amants dans son lit,
désarmant leurs charmantes secousses sismiques.
Ta nuque jalouse ton sourire moqueur,
des mains sans lendemains
agrippent mon corps et griffent mon cœur,
tes lèvres délivrent ma fièvre de cristal.
Des cris s’installent, métal langue en splendeur à fleur
deux lèvres, pétales de santal langue sur la mienne.
Pendant que tangue eaux de seine, chaloupent en couples
loups et louves le long du Louvre.
Funambule ; je déambule somnambule sur la rousse lune,
fripon ; fripe tes nippes, chipe ton slip, et retrousse tes jupons
larron ; te détrousse sans façon, te rançonne et te désarçonne.
résiste ; j'insiste et visite ton cœur à l'improviste.
Ces mots d'âmes d'amant à ma dame, amante, qui me damne,
délaisse l'aujourd'hui fadasse, pendant que je délace tes habits,
prélasse toi dans ce lit. Je te délasse et t'enlace câlin
enlise toi dans ce plaisir, que ces caresses jamais te lassent
paresse avec moi, love-toi en ce temps volé, envole toi vers moi
vole-moi autant de baisers que je t'en adresse.
je vous aime, Vingt milles bacci pour que te plaise à lancer des pensées pour moi, prince chat-amant désirant décorer ton cœur de milles guirlandes chatoyantes, sans mots. six lances d'airain à pointes de douceur et flèches de cupidon. j'aime, Si bleue est ton âme, si reine, chante en ton cour des mélodies de plaisir et des chansons de gestes tendres. Laisse moi entrer dans ton palais que je gravisse ces murailles enlierrées, jusqu'au donjon ou la princesse attends son conquérant, laisse moi t'approcher, que nos chants magnétiques s'aimants le trouble dans nos esprits, que nos souffles repoussent les frontières et que nos peaux mixent l'ivresse et connaissance. conquiert moi, joue avec moi des scènographies délicieuses et danse avec moi des valses tourbillonnantes, enivre moi, cesse ce silence sans licence ; sait que ce disait sur le sexe, l'amour physique n'a pas d'issues, sache sages vérité.
j'aime, je n'oublie pas, je ne néglige pas, je souffle de ne pas plus donner, de n'offrir que des mots, vain milles baisers, que je n'aimerai pas vains cours mais vifs et brulants, comme un feu dans l'âtre, et tes mots dans mon cou. Entendre tes mots - toujours soulevant le vent.
Sent sur ta poitrine mutine et le rivage de ta nuque, mes mains chaudes et aimantes, goûte le sel de ma peau et le musc de mes cheveux longs, rêve aux serpents déliés de mes doigts, à l'orée vermeil, à l'aube tiède ; aux crépuscules ou mon prépuce glissera entre tes jambes, à ces nuitées bleutées éblouies par les graces matinées naissant dans nos embrassades lutines. À ton plaisir que je recherche et que j'exigerai de toi pour y voir, dans tes yeux, la profonde couleur de tes envies.
Comment me veut tu? amant, ami, homme-objet, complice.
que mon pénis dressé pour toi, plus que pour moi. et que jamais ta bouche ne lui fasse oublier sa fierté et son bonheur de pouvoir se partager avec toi et d'être à toi. Si reine, ces cils, ces lignes, qui lissent tes yeux, regrettent l'eau séant, tenant, tentant, tant qu'embrassent des vagues à lames océanes. L'ame acérée, second couteau, marche le long des côtes vermeilles, les pieds foulant le ça bleue, la chevelure jouée par le vent, et les yeux découvrant l'infinie.
L'ame ouverte aux chants de ces impératrices de la mer, peaux c'est-y dont que s'ouvre les pores face à la peur d'être de passage sur ces rivages? Lit de sirène sur un tapis de Lit-chaîne, ah le gai nuage orné de mirages.
L'invincible larme a damner un ange, cent glossaires, cent lit vrai m'accueillent et si je préfère toujours celui de l'aimée.
je chante parmi les sirènes, ce lieder, d'une voie d'eau sacrée, d'un champ d'amour ou les pommiers fleurissent pour toi,
comme on cherche à ne plus être soi pour être enfin l'autre, je cherche la fusion et l'unisson.
j'embrase, je t'embrasse, je brasse ton corps encore, en coeur et en harmonie avec le tien,
je jette mes paumes sur tes seins, ceint ta peau, me perd en toi et souhaite ton coeur en retour de courrier. ton coursier sauvage,
ton coeur détachable et lavable, un lion d'élection pour un coeur d'électron.
je t'éfeuillerai, pétales après pétales,
lentement, en arrêtant le temps.
Mes doigts écartant ton corps sage
pour mettre à nu ton âme, t’oterai ton linge.
mes levres délivrent ton tétin,
la pointe de langue circonférant l’aréole,
léchant et malaxant et passant du sein a ta bouche
dessinant sur la longitude de ton ventre,
une rose des sens
. nos levres se désaltèrent et nos langues se serpentent
arpentant dans la tiedeur de l’autre, s’essoufflant et s’émouvant.
le velouté de tes baisers me chavire, ivre de toi. affamé de toi.
jamais mes doigts ne pressent, jamais ma bouche n’oppresse
et mes gestes zéphirs, soulignent et glissent sur ta peau.
ma verge longe ton corps sage, s’allonge et serpente
pour frayer un passage en tes reins, doucement,
pour ne pas t’éfrayer, converge, et convexe.
Je verrais en toi, une elle déserte,
flux et reflux, au gré de ton souffle,
marée montante et ascendante, ardents sentiments
brulantes sensations, alors je te renverserai sur des canapés
ou des couches impérieuses et je me fondrais en toi.
Soixante neufs douceurs,
nos deux corps humides et tiedes glissent
l'un dans l'autre en un interminable baiser,
soixante neufs plaisirs en apnée, frottements des chairs,
soyeux des nectars qui fontainent dans nos bouches,
nos levres qui se desalterent, nos yeux qui brillent,
nos souffles qui bercent et nos soupirs qui rythment en canon,
gouter ton desir, boire ton ivresse,
que ma langue atteigne ce bouton d'or et deja savoureux,
pointe dressee en une flaveur au gre de mes faveurs.
explorer le paysage symphonique de ton corps.
surfer dans les vagues de ton plaisir, rebondir sous tes gemissements
et adorer le cri qui nait dans ta poitrine et caresse mes oreilles.
feulement contre feulement, froissement des draps,
claquement des peaux, douceur des charmes,
je te desire
fleur du male, Mon baton ivre des rimes et sentiments…
Je me glisserai vers toi, te deroberai un baiser,
nos langues télépathent et s'allongent dans nos bouches entr'ouvertes,
se deploient, se caressent dessus, de derobent dessous, tournoient
et boivent la saveur de l'autre. Je me rapproche de toi,
veut me sentir en toi et en moi ce souffle imperieux fondre
et se dissoudre en une moniade de douceurs. reprendre sa respiration, haleter dans ce toi accueuillant mon etre sans reserve
et te donner mes reves magnetiques. gouter cette bouche, la mordiller, l'explorer, etre ta salive, ta soif, ton air.
être ta deuxieme peau le temps d'un eblouissement de chair et un feu d'artifices ivres,
est-ce des coeurs?
or gammes tel un clavier dechaine sur lequel
je joue des miels au lit secretes. -
Vertu elle
Inerte internet, desperados échoués, sur les mailles du mail,
jetant çà et là des maux et des mots aux démons…
là et partout, s'échouent en lai, des éternités nettes d'interférences, sans réel, sans rêves, et sans errances…
La maille arachnide mondiale (réserve d'amour virtuels),
sous réserve que l’âme aille vers tu - elles -
à coup d'octets et de bauds, embaume le cœur,
à la faveur des serveurs.
En annexe, documents liés sur le mail de nos adorées,
doctement liées à la maille qui pare à la chute des chats…
Eudora ment et les rescapés de Netscape naissent ;
et dormant sur les eaux dorées de l'amour ;
happés par les câbles émouvants, rêvent de s'échapper
par la méditation électronique…
des bleus, des lettres, des messages sages, des lettres pas sages ;
passage des pages bleues comme la tendresse…
ton page, Roméo à la page, pige que sans tendre vers l'uni,
verse des mots bleus sur ton cœur.
Neuf vies, vies neuves comme le silence radio
qui sévit sur les villes nouvelles.
neuf vies que l'envie asservit sans jamais assouvir.
IBM blêmes, épais PC, PowerMac font naître
des fenêtres nettes qu'avine Dos et C++,
Plus encore de pixels que celles-ci scannent.
neuf vies mise à jour release les news et chers voire de l'informel tic.
vertex de l'amour, pixels du tendre,
dit cette pousse pour les posse hackers que l'on pousse à cœur
de réseau à pirater le cœur de l'informe action.
Pirates du joli ciel sur dix skates.
88 mes gars rament et, ce qu'ânes drive à fin de s'aider,
Rome est haut, et dit ce que dure l'entrelacement des âmes.
Adorable eudora bleu sidéral,
que m’aillent tes tendres propos,
que nos amours - vers tu,-elle - tendent encore
firmament et ciel de traîne…