sur son corps de diva, je divague et songe a ses rivages rêvés
jetée là sur un lit de passage, du temps jadis, je lui dit mon naufrage,
les ravages qu'elle fait à mon âme et l'étincelle, qu'elle a allumée.
sur son corps de diva, je plane, me pâme, et l'adore.
je la monte en selle, je la navigue, déjà divague, mon bâton livre
à son ventre, mon écume jeté, à sa bouche, le lai de ma saison.
je cherches en elle ma déraison et sans raisons,
offre à sa chatte, ma livrée de baisers chatoyants
à ses fesses, de festes caresses afin de la mettre en liesse
en elle, ancré, humide de son délice, mon pénis glisse et frétille.
nos deux peaux se frottent l'une à l'autre,
nos souffles rapides et chauds, nos bouches enlanguées
tes seins léchés et ceints par les paumes,
tes hanches que j'agrippe, ce joyaux clltoris que je lèche
je veut en ses yeux ces lumieres ou brille l'or de nos games,
les gammes de nos jouissances, l'essence de nos sens
avec elle, joue à joui et à tu, et à vous j'aimerai dire nous
l'instant d'une seconde naissance, à son soupir fondre.
Commentaires
je me sens toute chaude tout a coup!!!0+)
Merci d'être venu me rendre visite.
J'aime beaucoup ce poème.
Bonne soirée.
Marie
comme une nouvelle fois ravissant... :)
tu es un mal chaud dis moi !!! non je rigole!! bien ecris
ben tu as vue ce froid de canard, faut bien que je me rechauffe!
oui super ! continue tu aimes ça et c'est vraiment bien. au fait puis-je te mettre en liens?