A peine l'obscurité faite dans la salle, sa main se pose sur mon sexe. De toute façon je ne regardais pas l'écran je cherchais une position afin de regarder le film au plus près d'elle. Son parfum fort m'ennivrais et dans la penombre je devinais les centimetres de chair libre de ses bas. Elle etait un cadeau. Un jour elle s'etait offerte enrubannée d'un corset rouge qui devait se defaire d'un joli nœuf comme un paquet cadeau. C'etait jour de fête charnelle. Ne manquait que le feu d'artifice. Elle etait si belle, offerte. A moi qui n'esperais plus une personne comme elle. "Tu veux que j'ôte ma culotte ?" Je ne souhaitais que ça... Evidemment. Sous sa main j'etais dejà dur. Je m'inquietais du regard du rang derriere. "J'ai envi de toi dans ma bouche". Elle me deboutonnais et lecha mon gland. Je perdis de l'interet pour le film a l'ecran. Sa langue tournais sur mon frein, légere, précise et paradisiaque. "Je veut gouter ton sperme" elle arriva à un de nos rendez-vous vetue d'un pantalon troué. Sur un banc invita mes doits a explorer la couture décousue. C'était un joli soir d'été. Elle devançait mes désirs avant même que je puisse les exprimer. Sa bouche delaissant trop vite ma queue, son sexe nu, je la caressait, mes mains glissaient le long de ses bas, mes doits cherchaient le bouton, et glissaient le long de sa fente humide et chaude. Je ne savais si je devais m'inquieter du voisinage ou pas. Sa mais glissait le long de ma queue. Je la desirais forte et aerienne, je voulais ses doits rapides et legers, fermes et sensuels, je la regardais d'une main je lui rendais le plaisir qu'elle me donnais de l'autre je cherchait la pointe d'un sein. La douceur d'un mamelon. Mon souffle s'emballais, je tentais de le bloquer, de le redre silencieux, je l'embrassais et la regardais dans le blanc de ses yeux. Extatique. Sa main montait, descendais, son sexe avalait mes doigts. Nos yeux se rencontraient. La tiedeur humide de sa raie m'avalait tout cru, je la sentais couler, brûler, je me sentais prêt à fondre dans sa main. Je la sentais palpiter, j'aurais voulu disparaître en elle. Mes reins bougeait lentement et discretement, je me tendais, accompagnais son geste. Mon souflle court, queue et tête bouillante. Ses bas, sa chatte, ses seins, ses yeux, sa bouche. Dans mon esprit c'etait un bordel atomisé. Ebullition. Je ne savais plus ou j'etais, de quoi parlais le film ? Sa main decalottais mon gland, s'amusait de la soumission de son digital dictact. Mon gland gonflé, bouillant prêt à exploser, impolsion dans mon esprit. Je me dissolvais deja sous ses doigts, mes doigts gluant de delice cyprine, ma bouche de sa salive, de nos baves. Je voulais que jamais ce moment ne cesse. Que cette ebullition soit permanente. L'agilité, la douceur des ses doigts qui s'agitait sur mon membre. En exitait toutes les terminaisons nerveuses, sa caresse precise et delicate avait raison de moi, je continuais a la regarder, presque nue, exitante. Je sentais ma seve monter et ne pouvais rien y faire, ma respiration se bloquait. Elle etait l'etincelle et ma bite etait braise. Ses doigts titillant mon gland comme mille bouches. Mon opale lait qui soudainement coulait entre ses doigts, eblouissement et si douce brulure coulant dans sa main. Je coulais pour elle, et plus je fondais plus je la desirais. Plus je voulais ses seins, sa chatte, son corps. "Tu as bon gout" et moi qui ne voulais que me glisser en elle.