lache l'bazar
jle remet dans l'falzar
j'tai trop troussée la rousse,
moi, après la secousse
j'boirai bien une mousse…
lache l'bazar
jle remet dans l'falzar
cte bringu'zingue,
qu'tu m'à dézingué
j'boirai bien une mousse…
lache le bazar
jle remet dans l'falzar
sinon j'rebande dare-dare,
qu'mon dard qu'jembrousse
ta frimousse.
lache l'bazar
jle remet dans l'falzar
qu'on s'embrasse, ça fait tâche
l'mat tout défait, ou j'me fâche
lache l'bazar
jle remet dans l'falzar
j'tai trop troussée la rousse,
moi, après la secousse
j'boirai bien une mousse…
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La Cabane
S. était au collège avec moi. Ni lui ni moi, n'étions de tres bon élèves… Nous arrivions et ne connaissions personne en 6eme. On se lia dans la cour de récré. Un peu plus tard je fis la connaissance de D. Puis de J. D. s'interessait beaucoup aux trains à vapeur, ce qui plus tard deviendra une telle passion qu'il integra une association pour la conservation des trains à traction vapeur et pratiqua activement la restauration de ces trains. J. s'interessait à l'herpétologie. S. lui aimait beaucoup l'atmosphère des années 50, moi j'étais porté sur les animaux et surtout le futur et la science fiction et un peu l'art. Le samedi S. venait me chercher pour faire de grandes ballades jusqu'à Pontault-Combault, Ozoir ou… ou même Fontainebleau… Je découvrais au delà de Champigny, au delà de Nogent et du Perreux. Nous revenions les pieds crottés de boue, tant nous trainions deans des lieux innaccessibles. Parfois dans un terrain vague, S. pour se réchauffer faisait un feu… ça m'amusait bien, et lui particulièrement…
Il me montra un terrain vague près des Boulleraux masqué derriere d'énormes ronces ou son Frère D? et J? avaient projetés de construire une cabane… on s'incrusta dans le projet… qui traina et ne draina rien de sérieux… On venait pourtant dans ce terrain des que nous avions un moment… on y tenta de creuser pour faire une cabane souterraine, un jardin, ou un bassin. Ce terrain servit aussi de champs d'expérimentation pour les bombes que nous nous amusions à faire avec une formule trouvée je ne sait ou… heureusement il n'y eu jamais d'accident…
Peu avant ma maman me permit d'avoir dans le jardin des animaux, j'en eu même un certain nombre, des canards, des poules, des lapins, un chien, des chats… j'aimai beaucoup ces animaux, je fus contraint de m'en séparer et lorsque je connu J. sa passion pour les reptiles m'interessa… je m'inscrit aux Jeunes Amis des Animaux, que je voyais parfois à la télé et qui étaient parrainnés par Brigite Bardot et fis la connaissance du president, qui devint un ami…
Géré par Allain Bougrain Dubourg, et coatché par J.P.S. je passait un été avec le héros de jaquou le croquant (premiere version) a soigner ses animaux … sanglier, loup, boa, lynx… dans un vieux manoir en ruines en Bretagne du côté de Vannes… je ne vis jamais la mer… Par ces personnes là je fus présenté à Salvador Dali (mon idole de cette époque là…) mais j'étais trop jeune pour arriver à lui témoigner de mon admiration ou lui poser des questions sur son travail… je restai muet en observant le bal des courtisans qui accompagnaient chacun de ses pas… j'ai eu le sentiment de voir le Roi Soleil en vrai…
Je sentais que je n'étais pas assez mur, ni que je n'avais de qualités pour être avec toutes ces personnes et je ne retournai plus les voir alors que la porte m'étais toute grande ouverte… Réaction que j'ai eu à maintes reprises dans ma vie… On me remarquai, j'ignorai pourquoi, on m'adoptai mais j'avais du mal a exprimer ce que je ressentais et à montrer ce que je savais ou ignorai. Alors je me retirai en douceur
J'emmenais J. chez lui et J.P Steiger fut tres interessé par le fait que l'on cherchait et attrappait des serpents ou batraciens pour notre plaisir, afin de les ramener, les conserver des des terrariums, pour les étudier chez J.ou D. Il décida de nous faire passer à la télé dans une émission sur les animaux qui passait le mercredi. cela nous draina un courrier et nous décidames de fonder un club axé sur l'herpétologie.
Un nouveau terrain fut en quelque sorte notre siege social… ainsi que la chambre de D.
Plus tard nous eûmes construit avec des materiaux de récup, trouvés sur la plupart sur des chantier, une vraie cabane avec un étage et un jardin tres agréable. Je derobais à ma mere un pole Godin pour chauffer la cabane et nous en fîmes un lieu presque douillet… Il nous arriva d'y dormir, d'y passer même des noels, emmitouflés dans nos duvets, nous gêlons, mais nous nous habituâmes au froid… c'était le main que c'était dur… mais à midi nous étions chacun chez nos parents, qui ne nous posaient pas trop de questions…
La cabane était le lieu des retrouvailles, nous y accédions en longeant la voie ferrée, en grimpant dans un talus orné de ronces et en nous frayant un chemin parmi les arbres… coincé entre deux pavillons, la route et la voix ferrée le terrain était inclus dans une sorte de no-man's land, inaccessible normalement… Ce petit bout de terrain oublié par l'urbanisation galopante de la région parisienne était notre paradis.
Nous l'avions repeint d'une sorte de couleur rouge rouille, un peu à la manière des cabanes suedoise ce qui était dans la verdure ou en hivers du plus bel effet… autour d ela cabane, un joli petit jardinet, une tonnelle faites des ronces qui poussait dans cette jungle… et entre copains nous étions heureux… Des journées a bricoler, les journees de chaleur, à trainer sur les rails… et tout aux alentours à la recherche de ce qui pourrait embellir cette cabane qui devenait habitable… De 14-15 ans à 18 ans cette cabane était quasiment notre QG.
Nous faisions de grandes virées en mobylette, vers provins, Fontainebleau ou Pontault-Combault, puis quand D. ou S eurent le permis en 403 Peugeot, une belle et lourde 403 qui nous menait partout et avec laquelle nous faisions les 400 coups…
D. fut par la suite de plus en plus pris par ses trains à vapeur, il prit le sobriiquet de "VapeurMan" et passai son temps à restaurer de vraies locos à vapeur, ou a voyager pour en photographier, ou chercher des pièces… Il avait rejoint une association de passionnés de vieilles locos, et j'aimais bien cette atmosphere qui sentait bon le voyage, le charbon et la graisse…
J. s'installa le premier avec une fille et nous avions un nouveau point de chute, mais d'un coup, malgré le babacoolisme, la pop, tout devenait d'un coup sérieux, les discussions me semblaient devenir trop théorique et il me semblait que mes amis s'éloignaient les uns des autres…
S. devint aigri, malgré que nous l'aimions beaucoup, et nous ne comprenions pas trop son agressivité… il se facha avec son frère. De nouveaux amis arrivaient et l'air frais était toujours un peu là, mais nous grandissions et étions bien obligés d'abandonner nos rêves d'enfants… -
égarée
Salle des pas perdue
je t'ai retrouvée…
effectivement… -
Sous ta jupe
Le printemps entre par les fibres
de ma peau, par les pores,
je le ressent dans mes entrailles.
Qui danse et qui roule
dans ma chair, ces jours
lumineux de montée de sève.
Les petites robes légères
éclosent, s'envolent.
Frimousses pétales et pistils
sourires et clins d'œil…
La si légère petite robe
ta peau nue frémissante
sans dessous, visée
sur ta broussaille, tes seins
qui percent la transparence
ravissement et désir.
Le soleil nous chauffe
je caresse tes jambes blanches
attiré, attisé, sous la robe légère,
le printemps entre par les fibres.
Le bourgeon, roi de ta forêt,
croît sous le doigt, posé,
encré à l'antre du délice.
Digitale ligne de vie,
lisse le roi bourgeon,
le dresse, l'écosse
sous la caresse, sur le delice
index délicatesse.
Le roi bourgeon, frais
et parfumé donne à visite
de bonne bouche
à droit de vit, site vermeil
merveille corolles et
merveille ce bouton :
de la croupe aux lèvres
il n'y a qu'un pas…
Sous le chintz gazeux
robe légère chantent
mes doigts, s'envolent
mes baisers, ma tête
échevellée, coincée
entre tes cuisses.
Ma langue déployée
disparait dans la brousse. -
ciné X
Au cinéma de mes nuits
elles le peuplent et sont à moi
au théatre de mes nuits
coule sperme et cyprine
dans les bouches assoiffées
surchauffe de corps
cœurs en surchauffe;
mes mots, les bleus de chauffe
glissent sur leurs lèvres
et ma pine glorieuse s'élève.
Au cinéma de mes nuits
je suis toujours disponible
pour un baiser et une caresse
au théatre de mes nuits
je me laisse attraper
mais, à la premiere robe qui passe
à la dérobée, je prends la fille
de l'air, et pffft je la souffle. -
Dilletante
la journée entière à dévisser les mouches,
à repeindre les nuages, les recouvrir
de cuir pleine fleur.
la journée entière à déboulonner les rails,
trier le ballast, séparer les diamants des silex
puis tartiner la mer de chocolat.
La fêlure bitumée des rues aveugles
laisse peu de place aux herbes folles. -
Cités jardins - la respiration
Parfois j'allais faire les courses, aller chercher le pain chez la mère Réau… de délicieux gateaux comme j'en ai jamais retrouvé… ou au Familistère, au Goulet Turpin… je gardais généralement la monnaie…
Il m'arrivait de piocher dans le porte-monnaie de ma maman et je lui dérobais 1 francs ou deux, à l'époque ça permettait de s'acheter quand même une bonne de Carambar© (les Delespaul© !) de Malabar©, de Nounours© (ceux qui étaient bon à manger - rien à voir avec ceux de maintenant - les vrais roudoudou, dont parle Renaud dans une de ses chansons - et le truc dont je raffollais Les Coco Boer, une poudre de réglisse dans une tres jolie boite ronde de métal argenté et coloré, ornée de la typo en relief "Coco boer", Il ya avait également ces petits bonbons à 1 centimes que j'achetais chez "Domino" et qui nous était extrait de beaux bocaux de verre…
Je pouvais m'acheter tout cela avec la monnaie des consignes de bouteilles vides, que l'on rapportait… le commerçant nous remboursait le verre quelques 20 centimes…
A côté de La Fraternelle, il y avait une épicerie qui laissait dehors ses bouteilles vides, et je ne sait ce qu'il m'a pris, j'en dérobais 3 ou 4 et les rapportais plus tard au même commerçant pour récupérer la consigne. Jusqu'au jour ou l'on m'attrapa et ce fut la fin de mes activités de voleur.
Par contre je continuai à piocher allégrement dans le porte-monnaie de ma maman. Un jour je fis assez fort et je lui pris un billet ou deux de 100 Francs (nouveaux) ce qui tout de même était une somme. Je m'acheta un pistolet de cowboy a amorce, des petits soldats (des de l'armée nordiste - Rintintin était d'actualité) et un parachute… le pied total… je cachais dans une des cours la monnaie - tiens pourquoi j'ai pas caché cela chez moi ? et je jouais tout content avec tout cela une heure ou deux…la réprimande fut sévère… je crois que l'on me descendis à la cave au charbon ou je dus passer un petit moment…
Chez la mère Réau, petit, je me servais, à la vitrine je prenais les gateaux qui me plaisait, elle me traitait de voleur, je n'avais que 5 ans et j'imagine que ma maman s'était disputé avec elle à ce propos…
Parfois lorsque ma sœur ou moi allions faire les courses, on avait le droit à déboucher une bouteille de cidre… c'était la fête alors… ou à acheter des millefeuilles, des babas au rhum (miam!) ou des religieuses…
Si je ne voulais pas manger, ma mère me faisait du riz au lait, quand celui ci allait au four, je léchais la casserolle. Elle cuisinait bien, et en bonne normande tout au beurre ou à la crème fraîche. j'adorais le chou-fleur à la crème, généralement accompagné de sole, de raie, ou plus couramment de morue… je mangeais souvent des petits pois, largement sucrés, ce n'est qu'adulte que j'ai découvert que cela pouvais se déguster salé. Lorsque j'étais malade, j'avais droit à une soupe avec de la viande hachée de cheval dedans, un délice… Maintenant pour trouver de la viande de cheval à paris… je n'en ai plus mangé depuis mon enfance… les steacks hachés de maintenant, ne sont plus aussi bon. Elle me donnait également un petit verre de vin de Malaga, qui dans son esprit était un fortifiant et un remontant. Son père les quelques fois ou il naviguait par là lui en ramenait… elle me transmettais donc l'héritage…
La boisson familiale est La Bénédictine… pas de gateaux possible sans son arôme, les crêpes sont impossible à faire sans en rajouter à la pâte. et encore maintenant, la Bénédictine fait partie de la pâte… cela et le beurre salée sont des incontournable pour moi.
aussi essentiels que la respiration. -
soutien à charlie Hebdo
Procès des caricatures Nous soutenons Charlie Hebdo et le droit de critiquer toutes les religions
Publié 27 janvier 2007 Justice , Liberté , Militantisme
Le procès de Charlie approche. Nous avons besoin de votre soutien, de votre signature ou que vous fassiez circuler cet appel auprès de vos contacts (en priorité auprès de personnalités susceptibles d’apporter leur soutien) en vue d’une parution prochaine dans la presse (les premières signatures symboliques seront arrêtées vers le 1 février).
Caroline Fourest
Procès des caricatures
Nous soutenons Charlie Hebdo et le droit de critiquer toutes les religions
Le procès qui s’ouvre au Tribunal de grande instance de Paris du 7 au 8 février 2007 est d’une extrême importance. Charlie Hebdo est poursuivi pour avoir republié les douze dessins danois du Jyllands-Posten sur Mahomet.
Dans un contexte où des intégristes menaçaient de mort quiconque osait soutenir les journaux et pays pris pour cibles, ce journal a choisi de rester fidèle à sa tradition de liberté de ton et d’expression envers toutes les religions et tous leurs symboles : le pape comme Mahomet.
Il l’a fait en mettant ces douze dessins à disposition du grand public, afin qu’il se fasse une opinion par lui-même.
Pour ne pas céder aux injonctions intégristes.
Par solidarité avec Jacques Lefranc, rédacteur en chef de France-Soir, qui venait d’être licencié pour avoir eu ce courage.
Parce que si tous les journaux d’Europe avaient fait de même, l’intimidation des extrémistes aurait échoué.
Parce que si tous les journaux d’Europe s’étaient pliés à cette injonction, leur silence aurait signé la victoire des extrémistes.
Malgré ce climat, des organisations musulmanes traditionnelles (la Mosquée de Paris), intégristes (l’UOIF) et même l’un des bailleurs de fonds de l’islam extrémiste wahhabite en provenance d’Arabie Saoudite (la Ligue islamique) ont choisi d’ajouter à l’intimidation une menace judiciaire en intentant à Charlie Hebdo, au titre des lois antiracistes, un procès pour « injures publiques à l’égard d’un groupe de personnes à raison de leur religion ».
Deux dessins sont visés : celui montrant Mahomet avec une bombe dans son turban, mais aussi celui où Mahomet freine un groupe de kamikazes par cette annonce : « Stop, on n’a plus de vierges en stock. » La couverture du numéro, où Cabu représente un Mahomet « débordé par les intégristes » et qui les désavoue (« C’est dur d’être aimé par des cons ») est également poursuivie pour « injures », alors qu’elle visait justement à montrer un Mahomet se désolidarisant des extrémistes.
C’est dire la confusion entretenue par cette plainte contre un journal qui combat depuis toujours à la fois le racisme et l’intégrisme. Nous refusons cet amalgame, facilité par l’utilisation abusive du mot « islamophobie », consistant à confondre la critique légitime de l’extrémisme islamiste et du terrorisme instrumentalisant les symboles de l’islam avec du racisme à l’encontre des individus de religion musulmane.
Certains nous disent aujourd’hui que le contexte géopolitique devrait inciter à la prudence, voire au silence. C’est tout le contraire. La liberté d’expression et la laïcité ont besoin d’être réaffirmées comme rarement. Ceux qui résistent à l’intégrisme n’ont que la plume et le crayon pour faire face aux menaces. Des démocrates du monde entier, notamment musulmans, espèrent trouver en Europe, et tout particulièrement en France, un havre laïque où leur parole n’est entravée ni par la dictature ni par l’intégrisme.
Si Charlie Hebdo venait à être condamné, si l’autocensure généralisée devait faire jurisprudence, nous perdrions tous cet espace commun de résistance et de liberté.
Pour ces raisons, nous soutenons Charlie Hebdo et le droit de continuer à critiquer toutes les religions sans exception.
Envoyer vos signatures (nom, prénom, présentation) à soutien@charliehebdo.fr
Pour suivre l’évolution du comité de soutien : www.prochoix.org -
Tête de liste
Tête à tête amoureux…
à perdre la tête…
une femme de tête
et lui… une tête…
il l'a dans la tête…
elle aussi.
se reverrons t'ils ?
Tête que oui… tête que non…
finalement, ils plongent la tête la première
et les voilà, tête bêche
et les voici la tête à l'envers…
tous les deux sans dessous, dessus.
sans queue ni tête… pas tout à fait…
mais arrive un accident de la vie
un tête a queue
première prise de tête
elle s'entête…
lui sa tête de lard,
elle, une tête de linotte ;
ils ont tous deux la tête dure.
elle a en tête une jolie
petite tête d'angelot…
une jolie tête blonde naît
et lui, veille l'aimée
et le bébé qui tête… -
mystere et boulle de gomme
Patrick était juste un copain, il sortait avec une amie d'une de mes petites amies… ils avaient eu un bébé, et je les avait perdus de vue, mais j'avais su qu'ils s'étaient séparés, Valérie préférant un bel allemand et elle parti bosser a Berlin… Lorsque je le revit il était RMIste et commençait à s'en sortir juste… et je n'ai plus jamais eu de nouvelles…
Il m'a rendu visite cette nuit dans un de ces rêves extremement particulier que je fais parfois… d'ordianaire ces rêves là sont clair… ils sont généralement assez distincts des rêves ordinaires… simplement récréatifs alors que ceux ci me révèlent toujours une vérité occulté qui peut avoir de l'importance pour moi.
J'y fais généralement assez attention… Or là ni l'un, ni l'autre, mais un peu des deux…
Dans ce rêve, Patrick est en prison… je lui rends apparement visite… et je m'inquiète pour lui, mais en fait je m'étonne que cette prison soit si proche de l'extérieur, pas si différent, avec des rues, des magasins, des appartements, on peut y vivre tout à fait normalement, la seule différence étant que c'est une prison…
je ne me souviens pas plus que cela, alors que mes rêves particuliers sont aussi fort et que je peux m'en souvenir de chaque détail…
Pourquoi se souvenir d'un pote que l'on a pas revu depuis une bonne dizaine d'année… aucun rapport avec la choucroute en plus… mystere…