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  • La femme est l'avenir de l'homme

    pourquoi les prophètes sont toujours des hommes? une diablerie ça! bizarre!!!!
    si les prophètes étaient des femmes; le monde en serait radicalement transformé…
    si le diable existait il aurait inventé la religion et fait des prophètes uniquement les hommes, et son message avec tout ce qu'il faut de sagesse populaire et d'ambiguîté afin que chacun puisse avoir sa propre interprétaion des textes…
    Et là dessus un bon verrouillage idéologique afin qu'on ne puisse ni remettre en question ces dits textes, ni le faire évoluer… des paroles d'hommes dans un monde d'homme…
    Sans aucune constestation possible… et comme leur meilleur des esclavagisme est celui librement consenti… faisons leur aimer leurs maîtres…
    La soit-disant toute puissance de dieu au service du pouvoir dominant… un outil précieux pour dresser les peuples contre les peuples, et les hommes contre les hommes…
    le diable aurait fait un excellent bon travail… s'il existait…
    et Jésus femme aurait été une bonne avancée, mahomet femme n'aurais pas été un guerrier, elle aurait eue d'autres préoccupations, plus vitales, plus rationelles, plus sages…
    Le jour où les femmes reprendront ce qui leur est dû, où ce monde aura d'autres préoccupations que les intérêts pétrolifères ceux là mêmes qui sont derrière ces histoires de religions et que les sordides marchandages d'armes, on s'apercevra que la gestion de la planète fonctionnera beaucoup mieux, que le monde sera meilleur… la femme est l'avenir de l'homme dit Aragon et je suis assez d'accord avec lui…

  • En vie

    en vie… en vie… tant que tangue ton corps contre le mien
    coulant de source… en vie de ton cœur envieux de tes soupirs
    envieux de ton envie. envie montant en tige et élixir de vie
    se melant au nectar de venus, melée salive et embruns
    envie… en vie

  • Une brune dans la brume

    elle était magnifique, peuplent encore mes rêves
    ses yeux verts et sa chaude voix.
    Celle à qui je vouait mon existence n'est plus
    qu'une brune dans les brumes du souvenir.
    Illuminée par la brillance de son esprit
    sa froide beauté, l'or de ses yeux, ses mots…
    J'admirai sa force et aimait ses faiblesses,
    ne voyant sa souffrance ni ses maux
    dont je ne comprenais la source,
    sa brillante destinée réduite à peau de chagrin…
    A deux nous aurions été somptueux
    mais j'étais aveuglé par ma propre misère
    et je ne voyais que les apparences…
    malgré mon amour sans limite
    malgré mes mots, malgré ma peine
    je la laissait partir vers ses châteaux hantés.

  • Elle d'or

    Peut-être dormais t'elle, nous étions nus par cette chaude nuit d'été…
    mon pénis dur entre ses jambes, contre son minou tout chaud… j'avais envi d'elle et je n'osait la réveiller… mes doigts la caressait sans qu'elle ne réagisse… je touchais les doux tétins de ses si jolis petits seins, et mis la main sur sa jolie fente brune… elle était chaude et humide… je m'en léchais les doigts. au chaud contre elle, je me sentais bien. je l'adorais…
    je me glissais doucement et lentement exerçait mes va-et-vient, et au fur et à mesure mon pénis pénétra en son humide foyer… elle semblait toujours dormir… je ne voulais pas l'éveiller même si j'avais envi d'elle… sa beauté me fascinait et en elle j'étais au paradis. j'allais le plus lentement possible et mon exitation croissait. mes reins cognait contre ses si belles fesses. mon souffle s'emballait et je le réfrenais pour rester silencieux. je ne voulais pas jouir tout de suite mais profiter de cet instant. le lit grinçais je ralenti encore mon rythme qui déjà n'était pas trop rapide. plus je ralentissait et plus mon gland s'enfonçait et je sentais le fond de son sanctuaire. je sentais la douceur de son être enserrer mon pénis et son humidité me brûler. Dormais t'elle vraiment? je sentais monter mon plaisir, et je sentais que bientôt je ne pourrais plus me retenir. encore quelques glissements et je sentais le sperme jaillir et les étoiles du plaisir m'éblouir… quelques contractions de mon pénis et mon orgasme n'en finissait pas, je continuais à couler en elle, et a en avoir le souffle coupé… je restais en elle et m'allongeais lové contre son dos… et à l'oreille lui glissa que je l'aimais. Dormais t'elle vraiment?

  • Ceci n'est pas une pipe… (magritte)

    histoire vraie! ma dentiste d'alors etait une jolie jeune femme… elle me traitait depuis un petit moment dans ce cabinet pres de la place Voltaire. Tous les 6 mois, j'avais une nouvelle dentiste, elles partageait le cabinet avec un chirurgien dentiste cinquagenaire, elles étaient généralement jeunes, je ne sait pas ce qui se passait mais le turn-over me semblait important…
    Ce matin là, j'avais une molaire à soigner, (je devrais envoyer mes factures de dentiste à Haribo, la Generale sucriere, et Grevais danone dont j'ai été un trop fidele client) … assis sur le fauteuil, je l'entendais discuter avec son assistante et je comprenais qu'avec son petit ami c'était terminé depuis la nuit précédente… j'écoute à moitié, mes mains serrait déjà le fauteuil alors qu'elle n'avait rien commencé… je prévoyait la douleur… la fraise… j'ouvre grand la bouche… j'essaie de lui faciliter le passage… evidemement ca devait être une dent de sagesse puisqu'elle me demande d'ouvrir plus grand… je m'effectue… au bout de quelques instant elle me lance… "Mais ouvrez la bouche plus grande! ah làlà!… Si vous étiez une fille vous ne pourriez pas faire de bonnes pipes…"
    Un peu interloqué, je ne pipe mot!
    j'ai pas trop su comment je devais prendre cela, je suis sorti du cabinet comme si de rien n'etait… comme à l'accoutumé toujours correct… mais j'aurais bien aimé une petite pipe, moi…

  • Voie lactée

    nus sans lacets, ni vêts, je baise ton duvet,
    doux salin et ne me lasse de ces levres ourlées
    où d'une leste langue j'explore la lagune.
    Je lappe ces levres, délacée de son ecrin
    l'opale sacrée de ta chair, lascive de ma bouche…
    l'escale de ton cœur, où jamais de toi, rassasié.
    me hissant chercher ta bouche, je fraye
    vers ton sacré, au cœur du joyaux
    au calice délice, joyeusement mon pénis.
    à mon oreille, tes soupirs me chantent,
    je suis à des aimés lumière et ma voie lactée
    jaillie et enlacé contre ton cœur et tes seins je joui,
    je sent l'enchantement de ton corps où je coule,
    tes yeux m'éblouissent et fond de délice.

  • Eau vive

    Lorsque je te donnais ces baisers là,
    je songeais à l'eau d'un ruisseau,
    à ces torrents dévalant les monts.
    Ta langue douce et fraîche.
    Je fermais les yeux.
    J'étais un cailloux
    dévalant le cours de l'eau
    emportée par le courant…
    Ton corps était eau vive
    coulait entre mes doigts,
    et, il me coûtait de ne plus
    me rafraîchir à tes baisers.

  • émerveillement

    A l'instar des surréalistes pour lesquels j'ai beaucoup d'admiration, je tient l'émerveillement pour une des plus belles choses de la vie… ce merveilleux qui tient à si peu de choses et d'où naît de multiples sensations et des flots de folles pensées … En amour, une personne ordinaire se vêt de plus beaux atours, un visage devient rayonnant et lumineux, sa peau nous donne frissons et ivresse… et son image reste gravé dans nos pensées des jours durant… chaque geste est l'élégance… chaque mot résonne et devient musique… sa voix est mélodie… et ses paroles de l'or… je ne suis pas éloigné du regard de Breton lorsqu'il croisa Nadja… Ceux qui ne serait pas touchés par ces sentiments perdraient beaucoup… une part d'eux même resterait ombre et nuit noire… pluie glaciale dans la nuit…
    l'émerveillement mêlé au merveilleux sens amoureux nous ouvre les yeux… et nous ouvre au monde…

  • Le vent

    Sous ses pas dansaient la rue, elle était comme le vent
    elle glissait sur les pavé, au loin je la regardais…
    son port droit, son magnifique visage, ses fines chevilles
    et sa jupe qui flottait au gré de ses pas
    sa beauté me coupait le souffle et je rêvais de l'embrasser,
    du goût de ses baisers, de son parfum…
    A ses pas s'accordaient mon rythme cardiaque
    qui au bout de quelques seconde s'emballait et se figeait.
    Elle semblable au vent, je gravais dans ma memoire
    les boucles de ses cheveux, la dureté de son regard
    et la beauté de sa souffrance… je lisas en elle sans la connaitre
    sa vie, et je la désirais… je voulais qu'elle soit heureuse
    je voulais qu'elle me dise tu, mais la laissait continuer sa route,
    belle, trop belle pour moi…
    sans qu'elle sâche qu'à chaque fois que je la croisait…
    je me disais… demain…