nus sans lacets, ni vêts, je baise ton duvet,
doux salin et ne me lasse de ces levres ourlées
où d'une leste langue j'explore la lagune.
Je lappe ces levres, délacée de son ecrin
l'opale sacrée de ta chair, lascive de ma bouche…
l'escale de ton cœur, où jamais de toi, rassasié.
me hissant chercher ta bouche, je fraye
vers ton sacré, au cœur du joyaux
au calice délice, joyeusement mon pénis.
à mon oreille, tes soupirs me chantent,
je suis à des aimés lumière et ma voie lactée
jaillie et enlacé contre ton cœur et tes seins je joui,
je sent l'enchantement de ton corps où je coule,
tes yeux m'éblouissent et fond de délice.
Commentaires
Il fait si chaud en ce moment, cela sent déjà l'été....
Merci pour votre commentaire sur mon blog.
Quelle belle invitation à l'amour ....
Me méfie des poètes, moi, maintenant...
Enfin, merci d'être passé!
et elles sont habillées desfois???? oups
oui mais ca ne dure jamais… je ne sait pas pourquoi…