Ne sentir sous ses pieds que du sable,
entre ses doigts, ne saisir que le vent…
pas même un nuage sombre, pas même le froid
au bord d'un précpice, face à soi le vide…
et moi au bord… avec une tranquille panique.
Je me sent égaré, perdu, sans savoir ou je suis
qui je suis… pas de certitudes, pas d'espérance…
pas de peines, pas de chagrin, au delà de cela…
j'étais un jeune homme en colère, j'avais la haine…
je n'ai rien… je ne possede rien, même plus le désespoir…
et cela est comme le vent, insaisisable,
et cela est comme le vent, comme le sable
ça s'effacera et disparaitra…
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leger spleen…ben ouais… 
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veloutéje ne lui dis rien, je rêve seulement 
 de ses yeux clairs et lumineux,
 porté par son regard acérés
 je voyage sur le velouté de sa peau.
 Autour d'elle, comme le vent,
 qui secoue les branches des arbres
 comme des elfes allumant feux follets,
 des herbes folles, couchés par un souffle.
 A son insu, je suis emporté… bringueballé
 sans ménagement, bousculé
 par la tendresse de son visage.
 Mes yeux ne voient que sa bouche.
 magnétique, qui m'aimante et m'attise
 je ne lui demande rien, ce rêve seul
 du gout de ses baisers, d'une étreinte,
 et de sa langue de soie chaude
 rêvasser de m'y prélasser.
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I want candySortir ton carnet de poésie, 
 l'offrir aux vents, l'offrir à la pluie et au soleil
 écrire des mots pour chasser le noir.
 Pour faire la traque au désespoir
 sortir ton carnet de poésie,
 l'orner de mots de pois de senteur, de lys.
 Calligraphier les prairies, les montagnes
 les océans, et le monde avant l'homme…
 Sortir ton carnet de poésie
 et se souvenir que la vie peut être
 friandise et sucre candy.
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nos mielsses levres s'entrouvent, elle d'or, 
 un filet de salive perlé
 ou un reflet de lune brille à sa bouche…
 son souffle nuage le silence dans la nuit…
 ses yeux clos étincellent la pénombre.
 Son corps incendiaire sur le plaid rivage,
 elle d'or… silhouette, ombre impériale
 à moi, ses doux rêves sans complexes,
 où convergent nos élans, nos corps à corps.
 Moi veut de son con fusion, désire con prise
 l'éveiller, lui offrir voyage éventail,
 ma bouche à son con plisse, au fond de ses replis
 ma salive emmiellée de sa crême savoureuse
 elle, élancée, alanguie, s'abandonne, son silence
 supplie d'aller plus loin, plus profond, plus fort
 la prendre sur la grêve, sans trêve, s'assembler
 mécano nos corps, arpège d'accord majeur
 index s'amuse de la fièvre de ta fève.
 à vif, vitale, l'envie de mon vit t'enveloppe,
 pleine de ma sève, m'invite au sérail.
 Nos reins se creusent, ondulent, dansent.
 nos dents, ta langue, nos lèvres se livrent
 con bat contre ma vie, fixe sexe à sexe
 flexible au garde à vous, il luit de tendresse
 s'étend dard, s'étale ta peau sous le vent.
 prise par les hanches, par les épaules,
 je te retourne, t'enfourne, t'enfourche.
 Fesses festives Fête de sens. essence.
 Naufrage mon âme, nous nous perdons.
 Bout seule d'érectionnel, tête-bêche nord ou sud
 le ciel de lit, toi, pôle air. ciel de nuit de taie.
 je tête sein, je croque fesses, je mordille
 bouche et épaules, froisse cheveux
 déchire linge et draps…
 je te veut encore plus nue, je te veut.
 Quand se mele l'ange de langue
 chavire et salive, souffle coupé et court
 mélopée de tes soupirs, chant de reine.
 sous le vent, au lit, le miel se mêle le lait.
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11 septembreJe ne confonds pas les pouvoirs politiques, les décisions des multinationales avec le peuple americain, les gens, les individus… on ne peut pas dire "les américains" dans n'importe quelle guerre, l'individu n'existe plus, je me pose en tant qu'individu… contre tout pouvoir qui un jour ou l'autre exigera de la viande pour ses gueguerres infantiles - islamiste ou chretiens - tout cela est infantile, detruire le jouet de l'autre, reprocher à l'autre sa propre misere, l'autre est toujours le responsable, un jour le juif, un jour l'arabe, un jour le chretien… et puispuisqu'on reste dans l'infantile, echanger ses attributs virils contre des armes, alors on parade avec des armes puisque cela fait viril! (c'est quand même toujours les mecs qui semblent avoir un problême avec leur petit zizi dont ils ne semblent pas savoir quoi faire) alors on s'arme contre l'AUTRE, on denie l'AUTRE car il ressemble tellement à SOI, et que soi on ne s'aime pas et qu'on veut tellement ressembler à l'AUTRE … c'est assez dur a expliquer, et ça resterai risible si ce n'etait pas si triste … 
 Ben laden, bush, de grands gamins !, on devrait juste leur donner une fessée et au lit, sans dessert.
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cyprineBlanche goutte d'émoi 
 coule de ta bouche…
 le goût de toi, de l'opale perle,
 gourmandise lappée,
 que mes papilles
 la journée durant, préserve.
 blanche goutte d'émoi,
 de moi a toi,
 léchée pour compte…
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les 50'j'adore ce que la chanson française créait à cette époque là… il y avait des tas de gens qui sortaient des sentiers battus, et ils faisait chantaient la vraie vie… loin de la starac… la vie , celle qui s'apprend dans la rue… 
 écoutez cela… comment le dire de milles manière……
 Ecoutez Colette Renard…
  
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amusement…trouvé chez khate : http://le-saule-pleureur-2.blogspot.com/ 
 
 Né le 25 août, mon arbre semble etre le pin
 voici ce que cela dit… quelques trucs vrai, mais pas totalement…
 
 Pin : Un protégé du pin est un cas "particulier" !
 ....... Il adore être entouré de personnes agréables . Il est robuste . Il sait se faire une vie confortable . Bon compagnon naturel pas vraiment agréable , il est naturel . il devient facilement amoureux mais la passion s'éteint rapidement . Tout tourne à la déception , sauf s'il rencontre son idéal et pourtant il est digne de confiance .
 
 
 Et pour continuer à s'amuser, le test de "pureté"
 http://www.griffor.com
 
 je ne sait pas comment c'est calculé, mais voici mes résultats
 
 Score : 164
 Pourcentage de réponses positives : 43 %
 Réponses positives sur les boissons: 16 %
 Réponses positives sur les drogues : 41 %
 Réponses positives sur le sexe : 55 %
 
 Commentaires : La vie n'est qu'un vaste terrain de jeu pour vous !
 Votre passé a été plein de surprises et je pense que ce n'est pas fini, loin de là !
 
 Ben j'espère bien!!!!
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manque…j'ai longtemps cherché la réalité 
 sur elle, je pensait n'avoir prise, méprise,
 nous nous branchions multiprise
 sur celle multiplex du sexe
 mais manquait multiforme
 moult douceur, moult baisers…
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oui je sais, c'est mochel'été se termine on est en septembre (les mauvais souvenirs de l'enfance : la rentrée…) 
 va falloir s'y faire… vivement l'été…