dis-moi les mots
qui mouillent
infiniment, aimés
qui font l’envie
qui fouillent l’amour
qui touille au deça
du jouis, du jouis
moi aussi j’ai dû
feindre mes silences
tant de temps perdu
à esquiver le désir
l’air de rien
dis le, ne le demande pas
touches ma queue
chuchote à mon oreille
ton corps qui me demande
ta vulve qui me veut
chuchote à mon oreille
ton souffle, tes orgasmes,
tes respirations, tes aspirations
j’écoute
-
-
Stratosphere
Ta bouche dresse
élève, stratosphère
ce jonc oriflamme
impatient de ta salive.
Ta langue innerve, titille
frenulum électrisé
toi la désirée, j’écoute ta peau.
j’entends ton souffle
sur la foi de mes doigts
au sein du brasier.
je croît de ta poigne
tu serres, malaxe, coulisse
d’éblouissantes menottes
de doigts légers
je coule l’opale
bouillant, l’empire laiteux
ta bouche, tes seins, ta chatte
éblouissement
au fond de venus
être toi
bander et remplir
fondre et recommencer
bander, te désirer
s’éblouir
de ton sourire
de ta peau voyageur
au long cours, parcours
ivre du grain, ivre de vouloir
invites-moi à la visite
à corps éperdus
d’etreintes résolues
peaux ruisselantes
sueurs suaves
salives salines
salaces caresses
d’étreintes à l’heur
d’étreintes en retard
se frotter, se heurter
ta chatte glisse
contre mon os,
ose l’enveloppe.
je lappe, je jappe
glisse et enserre
mon gland.
humidités, timidités
Seins vénérés,
aréoles divines
tétins érigé
moi érectile
emboitement d’amants
syncopés accouplés
obsession de jouissance
devenir la note boisée
haletements, soupir
silence -
Fondre
ce rêve ou nous sommes assis l’un à côté de l’autre. je ressent ta présence, ta peau brulante, tes cuisses, tes hanches qui me frôlent, je t’écoute parler, mon corps t’écoute. on se regarde dans le blanc des yeux, nos regards s’écoutent. je te désire. tu prends ma main et la pose doucement au chaud entre tes jambes. ta main déboutonne doucement et je durcit. ta paume s’invite en des replis de tissus, s’infiltre et enserre mon envie. mes doigts glisse le long de tes cuisse. je frôle un havre aimé tiède et humide. Ta paume appuie le long de ma tige, nos yeux sont aimantés, ton regard brille. tu prends mon gland, l’estime, l’enveloppe et tu joue avec sa peau. mes doits hésitent de ton bouton à ta fente qui devient plus chaude, humide, acceuillante. tu libère ma bite de son étui, cherche un rythme et tes doigts agiles me font un bien fou. j’humecte mes doigts et te revisite. ton bouton sacré La plus belle chose au monde. que je contourne, détaille, lit du bout de l’index, déchiffre. mon souffle change. ta main me brûle, je veux jouir, me répandre. je veux que tu soit douce, je veux que tu me fasse mal. que tu joue avec les replis quu enveloppent mon gland. Ta petite chatte devient sous mes doigts cyprine et mes doigts glissent en toi, tant de douceur, tant d’étrangeté dans cette grotte moite, huilée, je cherche à être le plus doux possible, le plus précis, je cherce ce petit endroit ou c’est glissant, tout doux, tout doux et je continue à te regarder et te trouver si belle. tes doigts descendent et remontent, fébriles, hésitants. je suis là, je ne suis plus là. ta bouche s’approche, je continue mes caresses, ta bouche me mange,ta langue m’enveloppe.je suis san défenses aucune. A ta merci. Quand ta lange descent le long de mon frein, titille, s’agite, je ne suis plus que brulant de désir, ma tête se remplit de boulonnement, de vapeurs, d’éblouissement. je glisse dans ta bouche, je brûle sous ta langue, tes doigts caressent mes petites balles et j’aime ça. je veux couler sur ta langue, dans ra vouche et que tu n’arrête jamais, je ressent ton plisir sous es dogt. tu me devore et je me sacrifie, je fond, je coule, mon corps entier se dissout sous ta bouche. ne t’arrête pas, je fond et te sent fondre aussi, j’aime tes petits cris. j’aime ce que tu me fais, ta langue qui pourlèche le dessous de mon gland, l’extase. le bonheur que je touche du bout de mes doigts ton extase
mes doigts léger sur tes seins cathedrale, ma bouche sur le mont de venus, ma langue humide en apesanteur qui touriste les replis de ta fente, ma langue qui salive à l’orée de ton jour, hésitante et téméraire, lappe et qui lisse tes saveurs déliced. ma langue cherche à parler à ton plaisir. ma langue s’invite en toi. ma tête entre tes cuisse et mon souffle courant après ton petit bouton rosé. ma bouche te veux frémissante et ouverte, au centre de tes tensions, de tes palpitations. toi qui m’invite, m’attrappe, m’enserre, me lèche, me dévore, moi qui veut couler sur tes levres. l’exigence de ta bouche, toi qui me plonge en toi, moi qui ne sais plus. qui ne sais plus que cette idée, tes soupirs, ton chant, te voir jouir et en toi me fondre.
-
Splendeur
ce cœur laissé à terre
laissé là
d'attente qu'on le jette
ou le ramasse
Donne moi ton heure
Heureuse ment
Je ment sur tes ires.
accorde mon do
Au diapason des désirs.
J'attends mon heure.
La splendeur nait pas au paraître.
S'abandonner, sans se se battre
S'abandonner.
Se sentir de paix
Parles moi des ruisseaux
Des herbes sauvages
Parles moi du vent.
Je ne peux que voir.
Écouter au delà des silences
Je ne peux que taire
Laisser passer les chagrins
Caresser la peau
la surface de l'eau
Poser sur ton sourire
Mes rêves
Parles moi de rien
Parles moi des jours
Naissants
de la lumière de l'aube
Parles moi de ta splendeur. -
Blanche rivière
A cheval sur ma tête,
crâne l’entêtée
genoux contre joues
enjouée, prisonnières
En joue, feu aux joues
mes levres célèbrent
tes lèvres alléchées,
en feu, humides
de salive, de désirs
ce bouton qui frotte,
ma bouche le veux écossé
ma langue remonte la rivière
se noie en tes enchantées
profondeur, sa douceur
son jus de satin
ton bouton glisse
m’embrasse
m’embrase.
Au bord de l’asphyxie
je respire par à coup
et replonge dans les délices
ton bassin qui danse
ta chatte qui vie de mon envie.
ton envie que je veux bouillante
de ma queue, impatience
de ta jouissance, impatiente de tes doigts
j’aggripe tes hanches, en teste
le voyage, remonte à tes seins
les empaumes, pince doucement les tetins,
les sentir chauds au creux de ma main.
vivants
tu te penches, engloutie ma verge,
bouche déplissant ce gland
que plus rien ne protège de tes désirs
tu le delaisse pour le saisir, le branler
et lécher l’opale qui se soumet
qui prends son insoutenable plaisir
tes doigts magiques et ta bouche impériale
ce frenulum qui se soumet
et ma queue tout entière qui veux être dévorée
tout comme moi je te devore
ta main prends possession de mes bourses
gonflées. je me sent être un incendie
je pourrais jaillir sur ta langue
me dissoudre fondre mais je ne veux
pas te devancer et j’ecoute tes soupirs
attentif aux frémissements de te chatte
qui frotte sur mon visage
a tes effluves Il n’y a plus rien que l’éternité
de ta jouissance
alors seulement je te fait don
de ma blanche riviere