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chaviré

j'en ai fini avec le désespoir, avec l'attente
ce monde ira à vau-l'eau sans moi…
Au diable les fatalités, l'irrémédiable !
Je ne prends que l'or des murs
les veines des pierres,
je lit l'histoire sur les murs .
Mes pas glissent sur les avenues
je cherche des sourires.
je vais là ou me portent mes rêves.
La ville comme un écrin.
Les rues comme terrain de jeux
Je serre des corps chauds et tendres
et j'embrasse les passantes.
Leur chante des mots chavirés,
charme leur corps, décore
l'instant leur vie..
Paris ne sera plus jamais gris
j'y cherche des sourires.

Commentaires

  • je pense souvent que l'on reçoit et donne plus de "sourires" par blogs que dans la rue ! et c'est dommage
    .......de là, à embrasser le premier venu ........

  • il ne s'agit pas d'embrasser le premier venu, on peut aussi embrasser du regard, et en pensées… c'est une image…

  • Avec ces quelques beaux jours de printemps, les sourires refleurissent eux aussi, j'espère que tu trouveras celui que tu cherches ......... A+

  • j'aime les sourires de ton poeme


    biz

  • On ne voit jamais que ce qu'on veut et le sourire est une arme fatale à laquelle personne de résiste. Alors double bravo, pour le contenu et la forme!

  • j'ai marché près de toi dans ces rues parisiennes...tu m'y remmèneras?

Les commentaires sont fermés.