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Allegria

je trouve au milieu des femmes, au milieu des fleurs
et à l'heur ou sonnent les bonheurs du jour,
à mille lieue des infames et des rustres,
les flammes qui sèchent larmes, et attisent l'âme

S'acharne leurs charmes, l'amour, à mon âme désarçonnée,
le désir mène mon âme sans chaînes, plein champs.
L'allegresse au gré de leurs rires et de leur corps sages,
seule la joie sans failles et sans limite…

Commentaires

  • Hummm, l'homme qui aimait les femmes...
    Corps sages ou corsages?

  • Une belle découverte ce blog. Des mots qui dansent et se posent sous les yeux pour caresser l'esprit. Des mots qui demandent à être vus après avoir subi les bienfaits de la plume. Plein d'originalité. De fraîcheur. Quelques pépites d'humour ou d'ironie sur un fond de mélancolie.

    Longue vie à ce blog, reflet de la complexité de son auteur.

  • j aime bien celui là

  • une fois de plus un tres beau poeme

    comme j"aime

    tendrement

  • Comme d'habitude, le plaisri des mots, merci.

  • ça glisse, c'est lisse....
    ça se laisse lire sans suplice...

  • Il faut oublier les infames et les rustres. Oui, les charmes des femmes s'acharnent quelque fois mais c'est la nature.

  • Tt a fait d'accord pour ta façon d'appréhender le monde: C appréhender la réalité; vivre au plus près d'elle...ce qui est le plus dur. Le bonheur se trouve/situe là. Gde sagesse de vie mais cela demande une attention de ts les instants.
    Cordialement-spqr

  • Bisous tout plein, j'ai vu ton com chez moi, il m'a fait sourire...

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