j'ai éparpillé tout autour de la cage
les baisers que je te destinais…
enfermé ta souffrance.
je lui avait tellement faire des tours
de manège à ta souffrance,
l'emmené au cabaret, l'étourdir
je l'ai noyée dans le champagne
j'aurais voulu la laisser là, sur le carreau.
j'ai voulu la cacher, la perdre
que jamais tu ne la retrouves…
Alors je l'ai enfermé et tout autour
j'ai éparpillé les baisers que je te destinais…
Commentaires
très beau,
je t'envoie des bisous.
bonsoir
tu n'as pas honte de la faire souffrir ? c'est pas de l'éparpillement de baisers que tu aurais dû faire mais des paquets ;-)
c'est une boutade ---> ton poème est très beau
je ne la fait pas souffrir !, ou alors c'est le lupus lui même que j'aimerai voir souffrir… sale bête qui donne de la souffrance… Combattre la souffrance en l'enfermant par l'affection, anéantir la maladie, la douleur par des baisers, par des chants, par de la beauté, c'est sans doute insuffisant… une vision de poète… ou de shaman ?
je me suis permis après un long temps de te rajouter à mes liens, c'est plus facile pour moi, pour aller chez sur les blogs que je visite régulièrement, si cela te gêne ou te déplait dis le moi, bye.
Toujours très beau. Belle inspiration.
oups, je suis confuse! je n'avais pas fait attention au titre..
PS sur le comm que tu as laissé sur mon blog, quelqu'une a réagi pensant que tu es une nana.... ta part féminine trop développée, peut être ??? :-))
Baisers et tendresse valent plus que tout...et sont souvent plus efficaces que n'importe quel traitement...quelle belle manière pour le dire...
ps:pour répondre à Ambre:une part féminine chez un homme n'est jamais trop dévellopée...elle est ou elle n'est pas, non?
J'adore...