Genoux à terre…
mais la fierté ne quitte pas
un cœur même écartelé.
La face couverte de boue.
les bras en croix…
toujours on se relève,
redresse sa tête
les yeux lavés
l'on regarde
briller les étoiles.
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Genoux à terre…
mais la fierté ne quitte pas
un cœur même écartelé.
La face couverte de boue.
les bras en croix…
toujours on se relève,
redresse sa tête
les yeux lavés
l'on regarde
briller les étoiles.
Commentaires
(Je reste discrète ...
Mais je tenais à dire que je continue à suivre ce blog depuis votre passage chez moi.
J'aime cet endroit. J'aime ces écrits.)
merci
coït
Purger l’appropriation fictive
En bouffées d’innocence
S’aveugler sans résistance
Isolés des sirènes maladives
Couler dans le magma de plumes
Poison des futiles passions
Antidote des illusions
Danser sur les folies des brumes
Pour dans la fleur de la mort
Connaître la féerie de l’oubli
S’embraser du coït de la vie
Jubilation du parfait accord
un joli poeme , des mots tres forts en sentiments!!!
bizzzzz
Oui, vivons l'instant présent à coeur ouvert...après, on cicatrise.
Je crois que j'aurais dû commencer par lire celui-là !
Merci beaucoup. Je l'aime bien ce poème. Bon week end à toi.