Du secret enfoui en mon fors intérieur,
diamant brûlé ; braise puis charbon.
Cette craie écrasée, poussière
A qui révéler ce qui est oubli ?
Le sourire a survécu aux soleils
en miettes, aux étés de neige.
Révéler que le cœur est roche
brisée, émiettée, que la pierre a fondue
Songer à ciel ouvert de ces souvenirs
délavés, silencieux vacarmes,
d'où surgirait la main qui m'a lâchée.
la main que j'ai lâchée.
Commentaires
tes écrits sont comme le bon vin, quand ils arrivent à maturation on en prend plein les papilles ;-)
Bien heureuse de ton retour :-)
Contente de te relire..................
toujours un plaisir
bisoux
Sans doute, pour l'heure, celui que je préfère.