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premières heures

Au commencement du monde
à travers fleurs, nos pas nous menaient.
Les arbres abritaient nos rêves,
nous rêvions de ces grands espaces
à découvrir demain, nous y dormirons.
Les vertes vallées où nous péchions,
nous puisions notre force de ces ronces
mûres, framboises, baies, racines
Faisaient et défaisaient nos amours,
les naissances et les morts,
Les saisons et les lunes,
Par dessus les ruisseaux et torrents
A travers forêts et prairies
au delà des déserts et montagnes,
nos marches nous menaient
le monde n'avait pas de limites
les ailes des insectes vibraient
les chants d'oiseaux, les cris d'animaux
nous étions au centre de ce monde
les nuages et les étoiles nous orientaient,
nous suivions les traces des animaux
sur le sable et les rocs.
Au commencement du monde
le monde n'avait pas de fin.

Commentaires

  • Puis vinrent l'immonde et la faim? 'reusement, on trouve encore de jolies choses dans l'e-monde...

  • on trouve de belles choses dans le v-monde (vrai monde)

  • on trouve de belles choses dans le v-monde (vrai monde)

  • C'est vrai mais là je parlais de ton poème! ;-)

  • très poëtique vision du monde, des hommes.

  • j'aime croire que ce n'est pas fini...belle évocation comme toujours...et merci pour tous tes mails d'information...;-) biz

  • c'est très beau

  • Bonsoir,
    Ce serait bien de se retrouver une journée au commencement du monde. Cela ferait du bien... à tout le monde.
    Merci Yoyostéréo.

  • oh! debie adore la poésie...
    je viens de visiter ton blog yoyo, as-tu bien vu celui de debie et as-tu compris l'empleur intregalactique de ce nouveau projet de debinisation de notre univers...
    si tu veux avoir plus de détail sur le projet je t'envois volontier tout ce qui existe déjà sur le sujet, nous allons faire paraitre un petit mag sur débie le 30 juin 2007 et la partie poétry n'est pas encore prise... alors si cela te dis...laisse courrir dans le vent la débie qui est en toi!
    ps: debie est la nouvelle déesse, celle du lâcher prise...
    a plus debie...

  • Salut Yoyo,

    Comment vas tu ? merci pour ton passage rapide, je suis en ce moment un peu débordée, sur plein de projets... après un voyage-reportage à Téhéran assez enrichissant...et un tournage de court épuisant...
    Une idée : pourquoi ne ferais tu pas un petit recueil pour l'envoyer à l'éditeur N & B (cf Bona) qui aime bien découvrir les nouveaux auteurs et jeunes talents...toute cette beauté mérite d'être montrée...
    @+ Biz

  • ...mais que ne faisions-nous pas par faim !!! quoiqu'aujourd'hui c'est une autre faim qui nous taraude...

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