En faisant le tour
de mes amours d'alors
Je pensait à celle
d'orages.
C'etait dur d'être.
A deux ou un
Et les copains
Qui me l'enviaient
Elle qui m'avait
Trouvée et percé
Le cœur.
Aux amours d'alors
au sein de l'empire
Frontieres cotonnade
Caresses barbelés
Je devais laisser
venir à moi ces
Paroles d'acier
Ces plaies recousues
Je devais porter
La parole au delà
De muettes cicatrices
Dire que nos solitudes
Gravées dans le marbre
S'effaceraient de par les vents
Disparaitraient sous les sables
Ensevelies et seront oubliées.
Comme meurent les empires.
Je repensait à celle
D'orage.